VARIANTES
DE LA TRAGÉDIE B’ORESTE.
Page 93, vers 10. — Édition de ’1700
PAJIMKNE.
O respectable Iphise ! ô fille de mon roi ! Relégué comme vous dans ce séjour d’effroi, Les secrets d’une cour en horreurs si fertile Pénètrent rarement dans mon obscur asile, etc.
Page 94, vers 14. — Iphise continue :
Peut-être c[ue ma sœur, etc.
et parle seule jusqu’à la fin de la scène. Page 97, vers 26 :
IPHISE.
Dieux qui la préparez, que vous tardez longtemps ! Auprès de ce tombeau je languis désolée ; Ma sœur plus malbeurcuso, à la cour exilée, Ma sœur est dans les fers ; et l’oppresseur en paix, Indignement heureux, jouit de ses forfaits.
ELECTRE.
Vou3 le voyez, Pammènc ; Égisthe renouvelle De son hymen sanglant la pompe criminelle. Et mon frère exilé de déserts en déserts, etc. (K.)
— Cette variante n’est tout au phis qu’une seconde leron. On voit par une lettre à ]\]"’= Chiiron, du 12 janvier 1750, que le rôle d’Electre contenait
ces vers :
Sans trouble, sans remords, Égisthe renouvelle
De son liymen aflVeux la pompe criminelle….
Vous vous trompiez, ma sœur ; liélas ! tout nous trahit.
La même lettre contient un auti-e vers pour un autre passage. (B.) Page 104, vers 18 :
ÉGISTHE.
Songez…
CLYTKMNESTRE.
^on, laissez-moi, dans ce trouble mortel,