Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/349

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VARIANTES

DU CHANT VINGT ET UNIÈME.

��Vers 1 9

��*Dc cos désirs dont l'excès vous poursuit. Songez, lecteur, que ces fatales flammes Brûlent vos corps et hasardent vos âmes. Vous avertir est mon premier devoir, Et le second est de faire savoir Comment Denis punit l'âne infidèle Par qui Satan fit rougir la Pucelle; Quel avantage en prit le beau Dunois. Il faut chanter leurs feux et leui's exploits.

��Vers 232. — Manuscrit :

��\evs 234 Vers 264 Vers 297 Vers 300

��'Lourdis alors fut rempli do science. Bientôt d'un sot il devint un fripon, Homme d'Etat, politique, espion,

  • Fin courtisan, plein d'astuce profonde,
  • Le moine enfin le plus moine du monde.
  • Ainsi l'on voit... (K.)

Le confesseur en ce même moment.

Le jacobin se souvenait encor.

Frère Lourdis l'entendit finement.

��. . . . Et prenant par la main

Le moine blanc, le mène avant nuit close.

��Vers 462. — Le dernier chant des premières éditions étant presque entièrement changé ou supprimé dans celles qui ont été imprimées sous les yeux de l'auteur, nous le donnons ici tel qu'il a paru dans les éditions en dix-huit et en vingt-quatre chants.

Je dois conter quelle terrible suite De Conculix eut l'infâme conduite,

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