Page:Von Kotzebue - Souvenirs de Paris en 1804, tome 1.djvu/4

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mon jugement. Je n’ai pas écrit un mot qui ne fùt entièrement conformé à la vérité cependant j’ai écrit beaucoup de choses que le lecteur ne trouvera point ici.

Je me bornerai à ceci, et n’en dirai pas davantage, jusqu’à ce que le flux et le reflux du temps aient changé les formes et qu'on ne courre plus risque d’être écrasé par un météore qui vous laisse tomber des pierres sur la tete.[1]


A. KOTZEBUE.
  1. Fiat lux !