Page:Weil et Chénin, Contes et récits du XIXe siècle - 1913.djvu/164

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

généra], suivi d'un profond silence, s'élève dans les marais. Guidés par une petite lumière, qui peut-être brille à l'étroite fenêtre d'une tour, les voyageurs s'approchent des murs à la faveur des roseaux et des ombres. Là, battant des ailes et pous- sant des cris par intervalles, au milieu du murmure des vents et des pluies, ils saluent l'habitation de l'homme. Chateaubriand, Le Génie du Christianisme. Dessin au pinceau par Moiurooni, artiste japonais.