Page:Weustenraad - Poésies lyriques, 1848.djvu/186

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Au pied mal affermi d’un trône jeune encore
Rampent, nous le savons, des abus trop nombreux ;
Plus d’un vieux privilège, armé d’un nom sonore,
Relève pour lutter son front ambitieux ;
Mais nous ne craignons pas leur ligue dévoilée ;
Nous la vaincrons sans vous et sans votre secours.
La Belgique des Rois sur eux s’est écroulée,
La Belgique du Peuple est debout pour toujours.