Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/132

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En arrière, des champs de blé, et des moissonneurs en ligne, accomplissant d’un air las leur tâche fatigante, sans qu’aucun son de rire ou de luth y mette de la douceur.

Et indifférent au flamboiement écarlate du soleil couchant, l’enfant rêve encore. Il ne sait pas que la nuit approche, et que nul ne récolte des fruits pendant le temps de la nuit.