Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/96

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mitié et plus d’amour pendant tous ces jours d’un été de joie et de pluie, je n’aurais pas aujourd’hui reçu en héritage la peine, je ne serais pas devenu un valet dans la maison de souffrance.

Pourtant, bien que le Remords, le sénéchal aux traits pâles qui sert l’Amour, soit sur mes talons avec toute son escorte, — je suis très heureux de t’avoir aimée, — je songe à tous les soleils qui font bleuir la véronique.