Page:Wilde - Le Portrait de monsieur W. H., trad. Savine, 1906.djvu/145

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
136
LE FANTÔME DE CANTERVILLE

jours, non sans qu’elle eût déshérité les Canterville et légué tout son argent à son pharmacien de Londres.

Mais au dernier moment la terreur que lui inspiraient les jumeaux, l’empêcha de quitter sa chambre, et le petit duc dormit en paix dans le grand lit à baldaquin couronné de plumes de la Chambre royale, et rêva à Virginia.