Page:Zola - La Débâcle.djvu/251

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leurs éclatait en notes vives, malgré l’usure glorieuse des batailles. En plein ciel bleu, au vent de la canonnade, il flottait comme un drapeau de victoire.

Pourquoi ne vaincrait-on pas, maintenant qu’on se battait ? Et Maurice, et tous les autres, s’enrageaient, brûlaient leur poudre, à fusiller le bois lointain, où tombait une pluie lente et silencieuse de petites branches.