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répète, est qu’il a été la victime de la queue romantique et des hommes politiques qui songent à régenter l’art. Ceux dont il attendait tout, ne lui ont rien donné. C’est alors qu’il a perdu la tête devant cet effondrement du patriotisme, de l’idéal, de toutes les phrases creuses dont on lui avait gonflé le cœur ; du moment que l’idéal et le patriotisme ne faisaient pas recette, il n’avait plus qu’à disparaître. Et il s’est tué.
Les autres vivent toujours, lui est mort. C’est une leçon.