Page:Zola - Les Mystères de Marseille, Charpentier, 1885.djvu/200

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

malheureux, et que, si la justice et les circonstances le lui avaient permis, il aurait rétabli ses affaires, ainsi que celles de ses clients. Il sembla accuser le tribunal de lui lier les mains, de l’empêcher de réparer le mal qu’il avait fait.

Il fut condamné aux travaux forcés à perpétuité et à l’exposition publique.