Page:Zola - Les Trois Villes - Lourdes, 1894.djvu/550

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le petit Gustave à montrer sa figure pâle. Longtemps, on put suivre la main potelée de Raymonde envoyant des saluts. Et Marie demeura la dernière, à regarder Lourdes décroître parmi les verdures.

Triomphal, au travers de la campagne claire, le train disparut, resplendissant, grondant, chantant à pleine voix.

Et exsultavit spiritus meus in Deo salutari meo.