Page:Zola - Travail.djvu/383

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attendris sur Josine et sur Sœurette, ses deux anges, l’une à droite, l’autre à gauche de son lit.

Il y eut un long silence. Le sang de l’apôtre avait coulé, et c’était le calvaire, la passion d’où allait sortir le triomphe. Comme les deux femmes s’empressaient doucement autour de lui, le blessé rouvrit les yeux pour les remercier. Puis, il s’endormit, en murmurant  :

«  Enfin l’amour est venu, et maintenant nous sommes vainqueurs.  »