Par mer et par terre : le batard

Gustave Aimard

Par mer et par terre : le batard

1879.

TABLE.

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Chapitre I^er. — Comment on peut faire son nid sur l’Océan et savourer son bonheur 

 1

Chapitre II. — Dans lequel il est prouvé qu’en ce monde tout n’est qu’heur et malheur 

 22

Chapitre III. — Comment se termina le voyage d’agrément fait en Europe par Olivier et doña Dolorès 

 50

Chapitre IV. — Dans lequel le lecteur assiste à une effroyable catastrophe 

 69

Chapitre V. — Dans lequel paraît heureusement une vieille Indienne nommée Mayava 

 93

Chapitre VI. — Où messieurs Maraval et Ivon Lebris se dessinent 

 114

Chapitre VII. — Dans lequel le lecteur est transporté en plein territoire indien 

 138

Chapitre VIII. — De quelle façon excentrique Olivier et Belhumeur se rencontrèrent 

 159

Chapitre IX. — Comment le Nuage-Bleu vint en aide à M. Maraval 

 182

Chapitre X. — Où Olivier s’obstine à manquer d’enthousiasme, malgré toutes les observations de M. Maraval 

 208

Chapitre XI. — De la grande surprise d’Olivier en reconnaissant son père 

 229

Chapitre XII. — Notre héros ne s’endort pas, mais il sommeille dans les délices de Balmarina 

 251

Chapitre XIII. — Du voyage d’Olivier et de sa sœur à Cadix, et des confidences de la marquise à son frère 

 270

Chapitre XIV. — Où la foudre éclate avec un horrible fracas 

 291

Chapitre XV. — Comment Le marquis de Palmarès fit un marché avec don Sylvio de Carvajal et ce qui en advint 

 313

Chapitre XVI. — Quelle fut la mort du duc de Salaberry-Pasta 

 338

Chapitre XVII. — Comment Olivier suivit les recommandations de son père et profita de sa succession 

 361

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