Réfutation de Maximin, évêque arien
Apparence
Œuvres complètes de Saint Augustin
Texte établi par Poujoulat et Raulx, L. Guérin & Cie., (XIV, p. TdM).
Traduction de M. l’abbé POGNON.
Chapitre premier. Des deux dieux.
593
—II. De la corruption de l’homme.
594
—III. De l’invisibilité de Dieu.
594
—IV. De l’immortalité de Dieu.
595
—V. Sous quel rapport le Père est-il plus grand que le Fils.
596
—VI. Des petits des animaux.
597
—VII. De la grandeur du Fils.
598
—VIII. De la soumission du Fils.
599
—IX. Le Saint Esprit adore-t-il le Père ?
599
—X. Comment le Père, et le Fils, et le Saint-Esprit ne sont qu’un seul Dieu.
600
—XI. Du temple de l’Esprit-Saint.
601
—XII. Comment le Père et le Fils ne sont qu’une même chose.
601
—XIII. Du témoignage que le Père rend au Fils.
602
—XIV. De l’amour du Père et du Fils.
603
—XV. De l’Invisibilité de la Trinité.
603
—XVI. Que Dieu seul est sage.
603
—XVII. Que Dieu n’a pas été fait.
604
—XVIII. Que le Père n’est point engendré.
604
—XIX. De l’égalité du Saint-Esprit avec le Père.
604
—XX. Quoique le Père ne soit pas engendré, le Fils est cependant son égal.
606
Préface.
607
Chapitre premier. Qui des deux, de Maximin ou d’Augustin, s’inspire de la crainte de Dieu.
607
—II. Jesus-Christ a été élevé, quant à son humanité sainte ; comme Dieu, il n’était pas susceptible de plus d’élévation.
608
—III. De l’égalité du Fils avec le Père, et du Saint-Esprit avec le Fils.
608
—IV. Il est inutile de prouver aux catholiques que Jésus-Christ est Dieu et homme tout ensemble.
609
—V. Définition catholique de la sainte Trinité.
609
—VI. Inconséquence des Ariens qui refusent au Père ce qu’ils accordent à la créature, le pouvoir d’engendrer son semblable.
609
—VII. Le Fils est égal au Père.
610
—VIII. Saint Augustin ne répond pas aux digressions superflues de Maximin sur l’incarnation et la mort de Jésus-Christ.
610
—IX. De l’invisibilité du Fils.
611
—X. Exposition du mystère de la sainte Trinité.
612
—XI. Le Fils est invisible comme le Père.
613
—XII. Le Fils est tout-puissant comme le Père.
614
—XIII. Le Fils est sage comme le Père.
616
Chap. XIV. De la procession du Saint-Esprit.
617
—XV. Le Fils est par nature ce qu’est le Père.
623
—XVI. Jésus-Christ, parlant comme homme, a dit de son Père qu’il est son Dieu : et en cela il a dit vrai.
627
—XVII. Le Saint-Esprit est créateur comme le Fils, quoique saint Jean, au début de son Evangile, ne le dise pas expressément.
628
—XVIII. Preuve de la consubstantialité du Verbe, tirée du psaume cix, sur ces mots mal interprétés par les Ariens : Ex utero ante luciferum genui te.
630
—XIX. Des gémissements du Saint-Esprit.
632
—XX. Unité de substance entre le Père et le Fils : preuves scripturales.
633
—XXI. Arguments sur les preuves scripturales de la divinité du Saint-Esprit.
635
—XXII. On ne dit de plusieurs choses, qu’elles font un ou une même chose, que lorsqu’elles sont d’une seule et même substance.
637
—XXIII. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont un seul Dieu : preuves tirées de l’Ecriture.
640
—XXIV. Obstination des Ariens à ne voir le Fils de Dieu que des yeux de la chair.
645
—XXV. Saint Augustin justifie cette proposition : Que le Père est plus grand que le Fils, considéré comme homme, et que cela suffit à sa gloire.
646
—XXVI. Il est faux qu’avant l’Incarnation, le Fils de Dieu se soit rendu habituellement visible aux hommes.
647