« Page:Leprohon - Antoinette de Mirecourt ou Mariage secret et chagrins cachés, 1881.djvu/36 » : différence entre les versions

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28 ANTOBiETTK prpeha d’dle, et, sans plus de pr^gabils-u-*-*^—“*“ da de vouloirjai*»-^ „-cctt^3emande, eue devint terriblemeat pâlcyet après quelques instants d’un silence plein dMrastfejn, elle murmura: — Puis-je être, moi pauvre fille, puis-je être ïdpoùse que votre mère choisirait et qui vous vaudrait Tappro» bation de vos amis ? • — Ce h’est pas ce qüé je te demande, dsère Ce» rinhe. Je ne me marie paspour oortipJaireîi més atftis ni à ma mère, et d’ailleurs, ceHe-ci m'aime trbp pour trouver à redire contre le choix que je ferai Ainsi, dis le moi franchement : m’ainœes-tu assez pour devenir ma femme ? Doucement ét presque en hésitarat, aomtn » si «lie dit craint de livier te Secfet qu’elle gardait depuis si longtemps, Corinne laissa échapper le «ta? si ddiroiceX à entendre et quelques semaines après, léur marnage était célébré três-srmplomont, sans pompe, dans Sa petite église du village. . Màdatùe de MKeedttrt la première impression de surprise pefeséey avait sans peine sâcrifié ses vœux' à ceux diu fris qWeUe idolâtrait. Après sdn mariage, la froideur et l’ihdifférencie dft Corinne s’évanouirentcothnaeforidla neige isouilnsoMl d’avril,et jamais feœkne ne frit plus pûtttnftem'ptus^d^> vouée.Jamais de Mii’eeourt ne 4ùi dü qif ilaVartetajp»» son secret, jamais, non plus, il né lui donna à supposer Digitized by’ CrOOQle