« Page:Revue des Deux Mondes - 1831 - tome 4.djvu/51 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
En-tête (noinclude) :En-tête (noinclude) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{=}}
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
<noinclude>
{{=}}
'''{{T2|Littérature}}'''
{{c|'''Littérature'''|ff=cursive|fs=200%}}
{{---}}
{{T2|'''L’AUTRE CHAMBRE''' <ref>L’anecdote suivante a été recueillie en Prusse ; elle était citée comme une aventure arrivée à Hoffmann dans sa première jeunesse. Le lecteur, néanmoins, voudra bien se souvenir que ceci est un conte et non une histoire, et qu’on ne lui garantit l’authenticité ni du fond ni des détails.</ref>,}}


{{-|6|m=2em}}</noinclude>
{{Centré|'''Conte fantastique.'''}}


{{c|L’AUTRE CHAMBRE{{lié}}<ref>L’anecdote suivante a été recueillie en Prusse ; elle était citée comme une aventure arrivée à Hoffmann dans sa première jeunesse. Le lecteur, néanmoins, voudra bien se souvenir que ceci est un conte et non une histoire, et qu’on ne lui garantit l’authenticité ni du fond ni des détails.</ref>,|fs=160%}}


{{---}}


{{c|'''Conte fantastique.'''|fs=90%}}
{{T3|I — {{sc|le frère}}.}}


{{-|2|m=2em}}

{{c|'''I. — LE FRÈRE.'''}}

{{interligne}}
En 18.., à Berlin, vivaient deux jeunes orphelins, frère et sœur, Théodore et Dorothée : ils habitaient un petit logement au rez-de-chaussée dans le quartier de Friedrichstadt.
En 18.., à Berlin, vivaient deux jeunes orphelins, frère et sœur, Théodore et Dorothée : ils habitaient un petit logement au rez-de-chaussée dans le quartier de Friedrichstadt.



Version du 27 avril 2020 à 18:00

Cette page a été validée par deux contributeurs.

=


Littérature

L’AUTRE CHAMBRE [1],


Conte fantastique.

I. — LE FRÈRE.

En 18.., à Berlin, vivaient deux jeunes orphelins, frère et sœur, Théodore et Dorothée : ils habitaient un petit logement au rez-de-chaussée dans le quartier de Friedrichstadt.

Théodore était un blond de dix-sept à dix-huit ans. Il était resté long-temps sans grandir ; mais pendant une dangereuse maladie à laquelle il venait d’échapper, sa taille s’était considérablement développée. Ce n’est pas qu’à tout prendre son corps en occupât plus de surface, car ce que la hauteur avait gagné, la largeur l’avait perdu, et c’était moins un accroissement qu’une répartition différente.

  1. L’anecdote suivante a été recueillie en Prusse ; elle était citée comme une aventure arrivée à Hoffmann dans sa première jeunesse. Le lecteur, néanmoins, voudra bien se souvenir que ceci est un conte et non une histoire, et qu’on ne lui garantit l’authenticité ni du fond ni des détails.