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O Hui liag e sentê er mor cloh Mon pouçåli, ltent,
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Pe gerliell ar henteu mal)-dên, ,
Hou péet truhé cloh er moraer liag é* gèrent
E vo, liep Gb, beuhet ér boên


Ô Vous à la voix de qui la mer obéissait, jadis —
Hui hag e saillezé er pesltecl ér rouécleu «
Quand Vous marchiez par les chemins du fils-de-l’homme,
Ar Hou konz, guéliaral, o Mestr,
Ayez pitié du marin et de sa famille, Qui, sans
Dalhet koun én eur-man cloh fé bon gourdacleu, t
Vous, seront noyés dans la peine.
Bêniget finenneu bon lestr...


Vous qui remplissiez de poissons les filets, D’une
Ni e luêlra, guir ê. Ni zo goann ha clistêr,
seule parole, autrefois, ô Maître, Souvenez-Vous à
Liès’ramla d’Ô11 clisplijadur,
cette heure-ci de la foi de nos ancêtres, Bénissez les
lignes de notre bateau.


Nous péchons, il est vrai. Nous sommes faibles et
Meit Hui zo Doué er garante frag en oloustèr,
chétifs, Souvent nous Vous causons du déplaisir,
Meit mala-clén e zo Hou krouédur.
Mais Vous êtes le Dieu de l’amour et de la douceur,
Er groéz e gaseh kent ar er Halvar, drê zoên,
Mais le fils de l’homme est votre créature.
Ôê pounnêr ; lion liani eùé :


La croix que Vous meniez jadis sur le Calvaire en la
l/lichér er martelod zo ur vichér a boên,
portant, Était lourde ; la nôtre aussi : Le métier du
O Vous à la voix de qui la mer obéissait, jadis —*
(hand Vous marchiez par les chemins du fils-de-l’homme,
-* Ayez pitié élu marin et de sa famille, -’ Qui, sans
Vous, seront noyés dans la peine.
Vous qui remplissiez de poissons les filets, -"’ Diune
seule parole, autrefois, ô Maître, * Souvenez-Vous à
cette heure-ci de la foi de nos ancêtres, * Bénissez les
lignes de notre bateau.,

Nous pêcllons, il est vrai. Nous sommes faibles et
chétifs, ** Souvent nous Vous causons du déplaisir, -*
Mais Vous êtes le Dieu de l’amour et de la douceur, *-Mais
le fils de l’homme estîívotre créature.
VfÎ’Î.’Î’M ?~ï ?’ "’› ’ -’

La croix que Vous meniez jadis surš le Calvaire en la
portant, ’** Etait lourde ; la nôtre aussi : -’ Le métier Cltl
marin est un métier de peine.
marin est un métier de peine.

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Version du 3 juin 2015 à 17:20

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Ô Vous à la voix de qui la mer obéissait, jadis — Quand Vous marchiez par les chemins du fils-de-l’homme, — Ayez pitié du marin et de sa famille, — Qui, sans Vous, seront noyés dans la peine.

Vous qui remplissiez de poissons les filets, — D’une seule parole, autrefois, ô Maître, — Souvenez-Vous à cette heure-ci de la foi de nos ancêtres, — Bénissez les lignes de notre bateau.

Nous péchons, il est vrai. Nous sommes faibles et chétifs, — Souvent nous Vous causons du déplaisir, — Mais Vous êtes le Dieu de l’amour et de la douceur, — Mais le fils de l’homme est votre créature.

La croix que Vous meniez jadis sur le Calvaire en la portant, — Était lourde ; la nôtre aussi : — Le métier du marin est un métier de peine.