« Page:Stendhal - Armance, Lévy, 1877.djvu/11 » : différence entre les versions

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{{c|Par R. COLOMB, son exécuteur testamentaire<includeonly><ref>Au moment où cette Notice a paru pour la première fois (1845), je croyais avoir pris connaissance de tous les papiers laissés par Beyle ; il n’en était pas tout à fait ainsi ; une caisse contenant de nouveaux manuscrits, me fut encore adressée de Cività-Vecchia, où ils avaient été retrouvés en 1846. D’autre part, je n’avais pas lu alors les lettres de Beyle qui m’ont été confiées depuis. La lecture de ces divers écrits m’a mis à même de compléter ma Notice et d’ajouter à son exactitude. En la reproduisant, je pense aussi aider à l’intelligence des lettres de Beyle, dont quelques parties auraient pu offrir de l’obscurité.</ref></includeonly>.|sc}}
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Version du 21 décembre 2015 à 12:19

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NOTICE
SUR LA VIE ET LES OUVRAGES
DE HENRI BEYLE
(DE STENDHAL)


Par R. COLOMB, son exécuteur testamentaire.


« Qu’ai-je été ? que suis-je ? En vérité, je serais bien embarrassé de le dire. »
(Tiré des papiers de Beyle.)