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L’édifice élevé par Charlemagne avait été
L’édifice élevé par Charlemagne avait été

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les siècles barbares

Le même édit de Mersen consacra le droit de guerre privée lequel, à vrai dire, existait depuis longtemps. Sous les Mérovingiens comme sous les Carolingiens, les guerres particulières furent incessantes.

L’anarchie monarchique (884-987)

L’édifice élevé par Charlemagne avait été moins solide encore que celui de Glmris. A partir de 881, le droit. héréditaire cessa. pratiquement d’exister en France. Les seigneurs féodaux élu- rent. Charles le Gros qui n’était pas l’héritier. Puis, l’ayant déposé, ils lui donnèrent pour suc— cesseur Endes, combe de Paris, qui venait de s’illustrer en défendant contre les Normands'la ville dont il pcu-tait 1c nom. A la mort de ce prince un Carolingicn, Charles le Simple devint roi, puis on élut Robert, frère d’Endes, et ensuite le gendre de ce dernier, Remul. Après quoi, on revint aux Carolingiens (951-986). L’indécision de Lothairc, leur dernier roi, et la disparition de son jeune héritier Louis V, secondèrent l’han biieté d’Hugues le GrancL duc de France, petit- îils d’Eudes, qui avait. su préparer l’avènement définitif de sa maison. Et l’an 987, à Scnlis, écartant Charles de Lorraine, le prétendant ca- rolingien“, les seigneurs se laissèrent convaincre par l’archevêque de Remis, et ûlurent Hugues Capot, fils du duc de France. Il fut proclamé en qualité de a roi des Gaulois, des Bretons, des Normands, des Aquitains, des Gotha, des Espa- gnols et des Vascons no. La. formule vaut d’être relevée ; le nom des Francs n’y figm'e plus.