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Version du 19 août 2018 à 10:17

JournalRevue pour les Français Voir l'entité sur Wikidata
Volume1
AuteurCollectif
Année d’édition1906
Fac-similésdjvu
AvancementAvancement inconnu

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constructions neuves et approvisionnements de réserves » de celle

de la France. En 1905, l’Allemagne a même consacré à ce chapitre 45 millions de plus qu’en 1904. Si l’on considère que ce crédit est destiné spécialement aux approvisionnements et aux constructions nécessaires pour le temps de guerre, on conclura que la politique de l’Allemagne n’était pas positivement orientée vers la paix.

Qui est responsable ? Le rapporteur répond textuellement : « Dans l’état actuel de notre organisation, si nous voulons connaître l’autorité responsable de la défense nationale et chargée de mettre en mouvement nos forces de terre, de mer et des colonies, tout en coordonnant leur action, nous n’en voyons pas ». Ainsi, comme dit Figaro, ce n’est personne. Il semble bien cependant, dans le cas particulier qui sollicite notre attention, que la responsabilité du Ministre de la guerre était en fait, sinon en droit, plus particulièrement engagée. Le remède à cet état de choses consisterait suivant M. Klotz « à coordonner, dans le plus bref délai, l’action des différents ministères de défense nationale sous la responsabilité pleine et entière du président du Conseil des ministres, seul susceptible d’être comptable de ses actes vis-à-vis des représentants de la France. »

Nous ne voulons pas terminer ce très rapide aperçu de l’intéressant volume du rapporteur de la guerre sans faire remarquer combien une parcimonie mal comprise peut entraîner de dépenses pour un même exercice. Pour réparer les bévues passées, il a fallu l’an dernier, pendant la période de tension politique, dépenser en hâte 235 millions, ce qui ne contribua pas à faciliter l’équilibre du budget de 1906. Mais, du moins, à ce prix nous fûmes prêts. Puisse la chaude alerte de 1905 nous tenir en haleine.


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BIBLIOGRAPHIE



Exclusivement réservée depuis sa fondation aux grandes bibliothèques universitaires et publiques de l’étranger en vue desquelles elle fut créée, la Chronique de France en est à sa sixième année. Publiée sous la direction de M. Pierre de Coubertin par l’éditeur Albert Lanier (43, rue de Paris, Auxerre), elle sera dorénavant en vente en France au prix de 3 fr. 50 (franco) ; le surplus des éditions de 1900, 1901, 1902, 1903 et 1904 est mis en vente dans les mêmes conditions que l’édition de 1905. La Chronique de France forme chaque année un volume de 250 à 280 pages dans lequel se trouvent passés en revue et commentés les événements marquants des douze derniers mois écoulés. C’est ainsi que l’Exposition de 1900, les élections de 1902 et les changements de ministères, la loi sur les associations, la dénonciation du Concordat, le rapprochement avec l’Italie, l’entente cordiale, le conflit franco-allemand ont été l’objet d’études approfondies. De même des chapitres ont été consacrés à la Louisiane française à propos du centenaire de sa cession et au Code civil à propos du centenaire de son établissement, à l’exposition des primitifs, aux progrès de la mutualité, aux missions, aux questions coloniales, ouvrières, artistiques, littéraires en un mot à tous les sujets sur lesquels s’est manifestée l’activité française depuis le début du présent siècle. La Chronique de France forme ainsi le répertoire le plus utile à posséder, le seul d’ailleurs qui ne soit ni spécialiste, ni technique et présente un résumé général des idées et des faits.

Nous pouvons annoncer dès maintenant la publication du septième volume dont les principaux chapitres auront trait à la conférence d’Algésiras, à l’élection présidentielle, à l’avènement du parti radical, à nos affaires religieuses, au centenaire de Le Play, à l’œuvre d’Albert Sorel, etc…