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NOTES


quelques occasions comme s’il eût désiré d’avoir part au gouvernement incertain et orageux de Louis XIII. Il est vrai que le mot célèbre, cité par M. de Voltaire, est une belle réparation de cette faiblesse, si pourtant elle est aussi réelle que l’ont prétendu ses ennemis.

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ROUE.


Sur ce genre de supplice[1].


La loi qui l’établit est du chancelier Poyet ; il est utile que le public sache que cette loi atroce a été l’ouvrage d’un magistrat flétri, pour ses malversations, par le parlement de Paris. C’est le même qui, ne trouvant pas à son gré la sentence portée par des commissaires contre l’amiral Chabot, la falsifia.


ROUSSEAU (J. B.) [2].


Jean-Raptiste Rousseau avait fait une satire intitulée la Baromide, contre le baron de Rreteuil, son bienfaiteur, dont il avait été le secrétaire, et il avait eu l’impudence de prétendre ne s’être biouillé avec M. de Voltaire que par zèle pour la religion : hypocrisie révoltante dans un homme connu par tant d’épigrammes irréligieuses, et banni pour crime de su-

  1. Voltaire, tome XLV, p. 345.
  2. Voltaire, tome XIV, p. 102.