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{{sc|Espinay (d’)}}, marquis dudit lieu en 1575 et s{{e|r}} de la Rivière, par. de Champeaux, — s{{e|r}} des Loges, par. de Chantepie, — de la Marche, par. du Pertre, — de Broons, par. de ce nom, marquis de Vaucouleurs, par. de Trélivan, — s{{e|r}} du Bois-du-Liers, par. de Chelun, — de Griflet, par. de Pleugriflet, — de Beauchesne, par. d’Elven, — de GrandBois, — de Maumusson, par. de ce nom, — vicomte de Blaison, s{{e|r}} de Durtal et baron de Mathefelon en Anjou, — s{{e|r}} de Sérigné, par. de la Bouèxière, — d’Yvignac, par. de ce nom.}}

Espinay (d’), marquis dudit lieu en 1575 et s{{e|r}} de la Rivière, par. de Champeaux, — s{{e|r}} des Loges, par. de Chantepie, — de la Marche, par. du Pertre, — de Broons, par. de ce nom, marquis de Vaucouleurs, par. de Trélivan, — s{{e|r}} du Bois-du-Liers, par. de Chelun, — de Griflet, par. de Pleugriflet, — de Beauchesne, par. d’Elven, — de GrandBois, — de Maumusson, par. de ce nom, — vicomte de Blaison, s{{e|r}} de Durtal et baron de Mathefelon en Anjou, — s{{e|r}} de Sérigné, par. de la Bouèxière, — d’Yvignac, par. de ce nom.


Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.
Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.


D’argent au lion coupé de gueules et de sinople, armé d’or ; aliàs : brisé pour les cadets, d’une bande d’azur, semée de fleurs de lys d’or (Sceau 1346) Devise : Repellam umbras.
D’argent au lion coupé de gueules et de sinople, armé d’or ; aliàs : brisé pour les cadets, d’une bande d’azur, semée de fleurs de lys d’or (Sceau 1346) Devise : ''Repellam umbras''.

Quatre frères de cette illustre maison à la conquête d’Angleterre en 1O66 ; Alain, fils Pèan, croisé en 1239 et 1248; Galeran, petit-fils du précédent, marié en 1308 àAlixdeChampagné; Pèan, portait la bannière de Jean de Montfort à la bataille d’Auray en 1364. Cette maison a encore produit des grands maitres et plusieurs chambellans des ducs de Bretagne et sis chevaliers de l’ordre de 1569 à 1600. Elle a donné à l’église -.Jacques, évêque de Rennes, † 1482, oncle de quatre frères évêques, savoir : 1{{e|o}} André, cardinal et archevêque d’Arles, de Bordeaux et de Lyon, † 1500; 2{{e|o}} Jean, évêque de Mirepoix, puis de Nanteset de Léon, † 1503 ; 3{{e|o}} Jean, évêque de Valence et abbé d’Aiguevive, au diocèse de Tours ; 4{{e|o}} Robert, évêque de Nantes, † 1493; Françoise, sœur des précédents, abbesse de Saint-Georges de Rennes, † 1520 ; Robert, abbé de Saint-Crépin, au diocèse de Soissons en 1520 ; Louis, abbé du Tronchet en 1558 ; Charles, abbé du Tronchet et de Saint-Gildas-des-Bois et évêque de Dol.f *591 ; PeireWe.abbesse de Saint-Georges, † 1522; PAi7tppme, abbessede Saint-Georges, † 1583 ;Jean, abbé de Saint-Méen † 1604; Urbain, abbé de Boquen en 1652.


Quatre frères de cette illustre maison à la conquête d’Angleterre en 1O66 ; ''Alain'', fils ''Péan'', croisé en 1239 et 1248; ''Galeran'', petit-fils du précédent, marié en 1308 à Alix de Champagné; ''Péan'', portait la bannière de Jean de Montfort à la bataille d’Auray en 1364. Cette maison a encore produit des grands maitres et plusieurs chambellans des ducs de Bretagne et sis chevaliers de l’ordre de 1569 à 1600. Elle a donné à l’église ''Jacques'', évêque de Rennes, † 1482, oncle de quatre frères évêques, savoir : 1{{e|o}} ''André'', cardinal et archevêque d’Arles, de Bordeaux et de Lyon, † 1500; 2{{e|o}} ''Jean'', évêque de Mirepoix, puis de Nantes et de Léon, † 1503 ; 3{{e|o}} ''Jean'', évêque de Valence et abbé d’Aiguevive, au diocèse de Tours ; 4{{e|o}} ''Robert'', évêque de Nantes, † 1493; ''Françoise'', sœur des précédents, abbesse de Saint-Georges de Rennes, † 1520 ; ''Robert'', abbé de Saint-Crépin, au diocèse de Soissons en 1520 ; ''Louis'', abbé du Tronchet en 1558 ; ''Charles'', abbé du Tronchet et de Saint-Gildas-des-Bois et évêque de Dol, † 1591 ; ''Perrette'', abbesse de Saint-Georges, † 1522; ''Philipine'', abbesse de Saint-Georges, † 1583 ;''Jean'', abbé de Saint-Méen † 1604; ''Urbain'', abbé de Boquen en 1652.
La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Preslre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Tèhillac, puis Coêtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.


La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Prestre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Téhillac, puis Coëtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.
Espinay (de L’), s{{e|r}} dudit lieu, de la Hauteville, de Trémar, de Buhel, de Lalier et de Malarit, par. de Plessé, — du Chaffault et de la Roche-Ballue, par. de Bouguenais, — de Monceaux, des Brétaudières et du Pesle, par. de Saint-Philbert, — de Briort et de Prénouveau, par. de Port-Saint-Père, — de Vilaire, — de la Pommeraye, — des Clouzeaux, — de Bedouan, par. de Donges, — du Housseau, par. de Carquefou. Ext. réf. 1668, cinq gén., montre de 1544, par. de Bouguenais, év. de Nantes. D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : Sequamus quô fata vocant.
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{{sc|Espinay (de l’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, de la Hauteville, de Trémar, de Buhel, de Lalier et de Malarit, par. de Plessé, — du Chaffault et de la Roche-Ballue, par. de Bouguenais, — de Monceaux, des Brétaudières et du Pesle, par. de Saint-Philbert, — de Briort et de Prénouveau, par. de Port-Saint-Père, — de Vilaire, — de la Pommeraye, — des Clouzeaux, — de Bedouan, par. de Donges, — du Housseau, par. de Carquefou.}}
Ext. réf. 1668, cinq gén., montre de 1544, par. de Bouguenais, év. de Nantes. D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : Sequamus quô fata vocant.


Jean, fils de Pierre, trésorier général de 1499 à 1524, épouse Bertranne Robelot ; Jean, auditeur des comptes en 1515 ; Guillaume, épouse en 1544 Marie du Chaffault, dame dudit lieu et de Monceaux ; deux pages du Roi en 1744.
''Jean'', fils de ''Pierre'', trésorier général de 1499 à 1524, épouse Bertranne Robelot ; ''Jean'', auditeur des comptes en 1515 ; ''Guillaume'', épouse en 1544 Marie du Chaffault, dame dudit lieu et de Monceaux ; deux pages du Roi en 1744.


Une branche transplantée en Poitou au xvue siècle y existe encore aujourd’hui.
Une branche transplantée en Poitou au {{sc|xvii}}{{e|e}} siècle y existe encore aujourd’hui.


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Espinay (de L’), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Saint-Malon, — de la Ville-Gélouard, par. de Saint-Pern, — de la Ville-Martin, — de la Motte, — de Launay, par. de Longaulnay.
{{sc|Espinay (de l’)}}, s{{e|r}} dudit lieu, par. de Saint-Malon, — de la Ville-Gélouard, par. de Saint-Pern, — de la Ville-Martin, — de la Motte, — de Launay, par. de Longaulnay.}}


Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1445 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo.
Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1445 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo.

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Espinay (d’), marquis dudit lieu en 1575 et sr de la Rivière, par. de Champeaux, — sr des Loges, par. de Chantepie, — de la Marche, par. du Pertre, — de Broons, par. de ce nom, marquis de Vaucouleurs, par. de Trélivan, — sr du Bois-du-Liers, par. de Chelun, — de Griflet, par. de Pleugriflet, — de Beauchesne, par. d’Elven, — de GrandBois, — de Maumusson, par. de ce nom, — vicomte de Blaison, sr de Durtal et baron de Mathefelon en Anjou, — sr de Sérigné, par. de la Bouèxière, — d’Yvignac, par. de ce nom.

Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.

D’argent au lion coupé de gueules et de sinople, armé d’or ; aliàs : brisé pour les cadets, d’une bande d’azur, semée de fleurs de lys d’or (Sceau 1346) Devise : Repellam umbras.

Quatre frères de cette illustre maison à la conquête d’Angleterre en 1O66 ; Alain, fils Péan, croisé en 1239 et 1248; Galeran, petit-fils du précédent, marié en 1308 à Alix de Champagné; Péan, portait la bannière de Jean de Montfort à la bataille d’Auray en 1364. Cette maison a encore produit des grands maitres et plusieurs chambellans des ducs de Bretagne et sis chevaliers de l’ordre de 1569 à 1600. Elle a donné à l’église Jacques, évêque de Rennes, † 1482, oncle de quatre frères évêques, savoir : 1o André, cardinal et archevêque d’Arles, de Bordeaux et de Lyon, † 1500; 2o Jean, évêque de Mirepoix, puis de Nantes et de Léon, † 1503 ; 3o Jean, évêque de Valence et abbé d’Aiguevive, au diocèse de Tours ; 4o Robert, évêque de Nantes, † 1493; Françoise, sœur des précédents, abbesse de Saint-Georges de Rennes, † 1520 ; Robert, abbé de Saint-Crépin, au diocèse de Soissons en 1520 ; Louis, abbé du Tronchet en 1558 ; Charles, abbé du Tronchet et de Saint-Gildas-des-Bois et évêque de Dol, † 1591 ; Perrette, abbesse de Saint-Georges, † 1522; Philipine, abbesse de Saint-Georges, † 1583 ;Jean, abbé de Saint-Méen † 1604; Urbain, abbé de Boquen en 1652.

La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Prestre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Téhillac, puis Coëtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.

Espinay (de l’), sr dudit lieu, de la Hauteville, de Trémar, de Buhel, de Lalier et de Malarit, par. de Plessé, — du Chaffault et de la Roche-Ballue, par. de Bouguenais, — de Monceaux, des Brétaudières et du Pesle, par. de Saint-Philbert, — de Briort et de Prénouveau, par. de Port-Saint-Père, — de Vilaire, — de la Pommeraye, — des Clouzeaux, — de Bedouan, par. de Donges, — du Housseau, par. de Carquefou.

Ext. réf. 1668, cinq gén., montre de 1544, par. de Bouguenais, év. de Nantes. D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : Sequamus quô fata vocant.

Jean, fils de Pierre, trésorier général de 1499 à 1524, épouse Bertranne Robelot ; Jean, auditeur des comptes en 1515 ; Guillaume, épouse en 1544 Marie du Chaffault, dame dudit lieu et de Monceaux ; deux pages du Roi en 1744.

Une branche transplantée en Poitou au xviie siècle y existe encore aujourd’hui.

Espinay (de l’), sr dudit lieu, par. de Saint-Malon, — de la Ville-Gélouard, par. de Saint-Pern, — de la Ville-Martin, — de la Motte, — de Launay, par. de Longaulnay.

Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1445 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo.