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Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.
Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.


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La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Prestre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Téhillac, puis Coëtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.}}
La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Prestre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Téhillac, puis Coëtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.}}
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Ext. réf. 1668, cinq gén., montre de 1544, par. de Bouguenais, év. de Nantes.
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D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : ''Sequamus quô fata vocant''.
D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : ''Sequamus quô fata vocant''.
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Une branche transplantée en Poitou au {{sc|xvii}}{{e|e}} siècle y existe encore aujourd’hui.}}
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Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1445 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo.
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ESP
Espinay (d’), marquis dudit lieu en 1575 et sr de la Rivière, par. de Champeaux, — sr des Loges, par. de Chantepie, — de la Marche, par. du Pertre, — de Broons, par. de ce nom, marquis de Vaucouleurs, par. de Trélivan, — sr du Bois-du-Liers, par. de Chelun, — de Griflet, par. de Pleugriflet, — de Beauchesne, par. d’Elven, — de GrandBois, — de Maumusson, par. de ce nom, — vicomte de Blaison, sr de Durtal et baron de Mathefelon en Anjou, — sr de Sérigné, par. de la Bouèxière, — d’Yvignac, par. de ce nom.

Anc. ext. chev., réf. 1069, vingt gén., réf. de 1448 à 1513, par. de Champeaux, le Pertre et Chelun, év. de Rennes, et Pleugriflet év. de Vannes.

D’argent au lion coupé de gueules et de sinople, armé d’or ; aliàs : brisé pour les cadets, d’une bande d’azur, semée de fleurs de lys d’or (Sceau 1346) Devise : Repellam umbras.

Quatre frères de cette illustre maison à la conquête d’Angleterre en 1066 ; Alain, fils Péan, croisé en 1239 et 1248; Galeran, petit-fils du précédent, marié en 1308 à Alix de Champagné; Péan, portait la bannière de Jean de Montfort à la bataille d’Auray en 1364. Cette maison a encore produit des grands maitres et plusieurs chambellans des ducs de Bretagne et sis chevaliers de l’ordre de 1569 à 1600. Elle a donné à l’église Jacques, évêque de Rennes, † 1482, oncle de quatre frères évêques, savoir : 1o André, cardinal et archevêque d’Arles, de Bordeaux et de Lyon, † 1500; 2o Jean, évêque de Mirepoix, puis de Nantes et de Léon, † 1503 ; 3o Jean, évêque de Valence et abbé d’Aiguevive, au diocèse de Tours ; 4o Robert, évêque de Nantes, † 1493; Françoise, sœur des précédents, abbesse de Saint-Georges de Rennes, † 1520 ; Robert, abbé de Saint-Crépin, au diocèse de Soissons en 1520 ; Louis, abbé du Tronchet en 1558 ; Charles, abbé du Tronchet et de Saint-Gildas-des-Bois et évêque de Dol, † 1591 ; Perrette, abbesse de Saint-Georges, † 1522; Philipine, abbesse de Saint-Georges, † 1583 ;Jean, abbé de Saint-Méen † 1604; Urbain, abbé de Boquen en 1652.

La branche aînée s’est fondue en 1598 dans Schomberg, d’où le marquisat d’Espinay a passé par alliance aux la Rochefoucauld et par acquêt en 1633 aux la Trémoille qui le revendirent en 1719 aux le Prestre de Châteaugiron ; la branche de Broons s’est fondue en 1689 dans Lorraine-Brionne et la seigneurie de Broons était possédée en 1775 par les de Bruc ; la branche du Bois-du-Liers s’est fondue en 1579 dans Téhillac, puis Coëtlogon, Bois-Adam et par acquêt Gardin ; la branche de Vaucouleurs s’est éteinte en 1764.

Espinay (de l’), sr dudit lieu, de la Hauteville, de Trémar, de Buhel, de Lalier et de Malarit, par. de Plessé, — du Chaffault et de la Roche-Ballue, par. de Bouguenais, — de Monceaux, des Brétaudières et du Pesle, par. de Saint-Philbert, — de Briort et de Prénouveau, par. de Port-Saint-Père, — de Vilaire, — de la Pommeraye, — des Clouzeaux, — de Bedouan, par. de Donges, — du Housseau, par. de Carquefou.
Ext. réf. 1668, cinq gén., montre de 1544, par. de Bouguenais, év. de Nantes.

D’argent à trois buissons d’épines de sinople ; aliàs : de sinople à trois buissons d’argent. Devise : Sequamus quô fata vocant.

Jean, fils de Pierre, trésorier général de 1499 à 1524, épouse Bertranne Robelot ; Jean, auditeur des comptes en 1515 ; Guillaume, épouse en 1544 Marie du Chaffault, dame dudit lieu et de Monceaux ; deux pages du Roi en 1744.

Une branche transplantée en Poitou au xviie siècle y existe encore aujourd’hui.

Espinay (de l’), sr dudit lieu, par. de Saint-Malon, — de la Ville-Gélouard, par. de Saint-Pern, — de la Ville-Martin, — de la Motte, — de Launay, par. de Longaulnay.

Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., réf. et montres de 1445 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo.