« Page:Paul Sébillot - Littérature orale de la Haute-Bretagne.djvu/11 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
Enomil (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Enomil (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Centré|Avant-propos}}
{{Centré|''AVANT PROPOS.''}}


Dans les pages qui suivent cette introduction, j’ai essayé de tracer un tableau de la littérature orale de la Haute-Bretagne, c’est-à-dire de la partie de cette ancienne province où la langue française est seule en usage. Mon travail se compose surtout de textes qui sont suivis de commentaires : chaque série est en outre précédée d’une courte introduction ; mais le plus souvent j’ai laissé la parole aux paysans et aux marins.


{{---}}
Bien des personnes, même parmi ceux de mes compatriotes gallots qui habitent la campagne, seront sans doute surprises de tout ce que contiendront ces pages, et pourtant elles ne sont que des échantillons de chaque genre, choisis parmi un grand nombre de


''Dans les pages qui suivent cette introduction, j’ai essayé de tracer un tableau de la littérature orale de la Haute-Bretagne, c’est-à-dire de la partie de cette ancienne province où la langue française est seule en usage. Mon travail se compose surtout de textes qui sont suivis de commentaires: chaque série est en outre précédée d’une courte introduction; mais le plus souvent j’ai laissé la parole aux paysans et aux marins.''

''Bien des personnes, même parmi ceux de mes compatriotes gallots qui habitent la campagne, seront sans doute surprises de tout ce que contiendront ces pages, et pourtant elles ne sont que des échantillons de chaque genre, choisis parmi un grand nombre de''

Version du 18 avril 2011 à 21:40

Cette page a été validée par deux contributeurs.
AVANT PROPOS.




Dans les pages qui suivent cette introduction, j’ai essayé de tracer un tableau de la littérature orale de la Haute-Bretagne, c’est-à-dire de la partie de cette ancienne province où la langue française est seule en usage. Mon travail se compose surtout de textes qui sont suivis de commentaires: chaque série est en outre précédée d’une courte introduction; mais le plus souvent j’ai laissé la parole aux paysans et aux marins.

Bien des personnes, même parmi ceux de mes compatriotes gallots qui habitent la campagne, seront sans doute surprises de tout ce que contiendront ces pages, et pourtant elles ne sont que des échantillons de chaque genre, choisis parmi un grand nombre de