« Page:Courtois - Isocrate, le prêtre Testis unus et l'abbé Thise.djvu/14 » : différence entre les versions
+espacements |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée |
Version du 19 juillet 2011 à 20:04
Cette page a été validée par deux contributeurs.
Isocrate. Allez, M. l’abbé, vous me faites horreur ! Jettez un regard en arriere, l’auteur de l’évangile avoit voulu épargner le sang, l’église l’a toujours fait couler ; c’est le retour de cet affreux malheur que l’assemblée nationale a voulu prévenir, et vous en murmurez !
L’abbé Thise. Têtes nues, allons sur la montagne, comme Moïse, lever les mains au ciel, les Aarons combattent dans la plaine ; on danse autour des cadavres démocrates de Vaison, l’évêque chante le Te Deum ; allons remercier le ciel.
Testis unus (s’écrie tout saturé de joie.) « À ce noble courroux, je reconnois les prêtres ».
FIN.