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{{c|'''Chapitre IV'''}} |
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Version du 23 février 2012 à 13:57
fait de l’avis de ces lecteurs-là. ― Mais sans les hors-d’œuvre et les épisodes comment pourrait-on faire un roman ou un poème, et ensuite comment pourrait-on les lire ?
Lorsque le négrillon eut apporté la chatte blanche et l’eut posée à côté de sa maîtresse, sur l’édredon neigeux, Musidora, tout à fait réveillée, commença à se souvenir d’un certain Fortunio qu’elle avait vu la nuit précédente au souper de George.
Les traits de cette image charmante, estompés par le sommeil, se dessinèrent avec netteté au fond de sa mémoire ; elle le revit beau, souriant, calme au milieu de ce bruit insensé, aussi inaccessible à l’ivresse qu’à l’amour.
Elle se rappela le pari qu’elle avait fait d’entrer tambours battants, enseignes déployées, dans la forteresse de ce cœur imprenable avant six semaines, et de se chauffer les pieds sur les propres chenets de cet élégant vagabond dont personne ne connaissait le véritable domicile.
La calèche attelée de quatre chevaux gris pommelé