« Page:Nietzsche - Ainsi parlait Zarathoustra.djvu/324 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Centré|''Sept !''}} |
|||
« Profonde est sa douleur — |
|||
Huit ! |
{{Centré|''Huit !''}} |
||
« La joie — plus profonde que l’affliction. |
|||
Neuf ! |
{{Centré|''Neuf !''}} |
||
« La douleur dit : Passe et finis ! |
|||
Dix ! |
{{Centré|''Dix !''}} |
||
« Mais toute joie veut l’éternité — |
|||
Onze ! |
{{Centré|''Onze !''}} |
||
« — veut la profonde éternité ! » |
|||
Douze! |
{{Centré|''Douze !''}} |
||
</poem> |
|||
<br/><br/> |
<br/><br/> |
||
Version du 16 août 2012 à 19:10
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Sept !
« Profonde est sa douleur —
Huit !
« La joie — plus profonde que l’affliction.
Neuf !
« La douleur dit : Passe et finis !
Dix !
« Mais toute joie veut l’éternité —
Onze !
« — veut la profonde éternité ! »
Douze !
*
* *
* *