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Ha mil mouéh ar un clro e hucl mil hozanna
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Ken ê grén er hertelc hag an aocleu geté...
Oh pela unan Jézus e gonz get karanté ;
Meir embér dirakton un den e zenfina :
l/Êestr, gurun er goaleur zo kouéhet ar me zi.
Jairus (1) ê me-h-anù, ha niem es meit ur plah,
Ha skoeit ê bet hiriù d’er hlenùecl hag e lah.
O ! cleit, hag astennet Hou torn a-us-clehi,
Ha me merh e saùo hag e vinhoarho, hoah.
Mestr, niem delézet ket, me Hou pêd, én eur-man ;
Deit aberr, nen dé lcet goal-bèl ahanaman,
Ré zeûêhat e vo mar gortoset arhoah 1 »
Ec mille voix en chœur hurlent mille hosannas, -"’ Qi
font trembler les rochers et les côtes, - A chacun Jésus
parle avec tendresse, Mais bientôt devant Lui un homme
šagenouille :


Et mille voix en chœur hurlent mille hosannas, Qui
Maître, la fouclre du malheur est tombée
font trembler les rochers et les côtes, À chacun Jésus
sur ma maison. * Je m’appelle Jaïre, et je n’ai
parle avec tendresse, Mais bientôt devant Lui un homme
qu’une fille, - Ec elle a été frappée aujourd’hui du
s’agenouille :
mal qui tue. -’ Oh ! venez, et étendez Votre main
au-dessus diölle,


« Maître, la foudre du malheur est tombée
Et ma fille se lèïera et sourira encore. "- Maitre,
sur ma maison. Je m’appelle Jaïre, et je n’ai
ne m’abz-mclonnez pas, je Vous en prie, à cette heure, *-Venez
qu’une fille, Et elle a été frappée aujourd’hui du
tout de suite, ce n’est pas bien loin d’ici, ~ Ce
mal qui tue. Oh ! venez, et étendez Votre main
sera trop tard si vous attendez demain. >>
au-dessus d’elle,
(I) Distaget jairus : Yaïrous.

Et ma fille se lèvera et sourira encore. Maître,
ne m’abandonnez pas, je Vous en prie, à cette heure,
Venez tout de suite, ce n’est pas bien loin d’ici, Ce
sera trop tard si vous attendez demain. »

Version du 28 mai 2015 à 17:59

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Et mille voix en chœur hurlent mille hosannas, — Qui font trembler les rochers et les côtes, — À chacun Jésus parle avec tendresse, — Mais bientôt devant Lui un homme s’agenouille :

« Maître, la foudre du malheur est tombée sur ma maison. — Je m’appelle Jaïre, et je n’ai qu’une fille, — Et elle a été frappée aujourd’hui du mal qui tue. — Oh ! venez, et étendez Votre main au-dessus d’elle,

Et ma fille se lèvera et sourira encore. — Maître, ne m’abandonnez pas, je Vous en prie, à cette heure, — Venez tout de suite, ce n’est pas bien loin d’ici, — Ce sera trop tard si vous attendez demain. »