« William Shakespeare (Victor Hugo) » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
m catégorie
bascule vers scan en cours
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{encours}}
<pages index="Hugo - William Shakespeare, 1864.djvu" header="Sommaire" />

{{TextQuality|75%}}<div class=text>
{{TextQuality|75%}}<div class=text>
{{titre|William Shakespeare|[[Auteur:Victor Hugo|Victor Hugo]]|1864}}






<center>À</center>
<center>L’ANGLETERRE</center>


Je lui dédie ce livre, glorification de son poëte. Je dis à l’Angleterre
la vérité ; mais, comme terre illustre et libre, je l’admire, et comme
asile, je l’aime.
<small>VICTOR HUGO</small>.

<small>''Hauteville''-''House'', 1864.</small>










Le vrai titre de cet ouvrage serait : ''À'' ''propos'' ''de'' ''Shakespeare''. Le désir
''d’introduire'', comme on dit en Angleterre, devant le public, la nouvelle
traduction de Shakespeare, a été le premier mobile de l’auteur. Le sentiment
qui l’intéresse si profondément au traducteur ne saurait lui ôter le droit de
recommander la traduction. Cependant sa conscience a été sollicitée d’autre
part, et d’une façon plus étroite encore, par le sujet lui-même. A l’occasion
de Shakespeare, toutes les questions qui touchent à l’art se sont présentées à
son esprit. Traiter ces questions, c’est expliquer la mission de l’art ; traiter ces
questions, c’est expliquer le devoir de la pensée humaine envers l’homme. Une
telle occasion de dire des vérités s’impose, et il n’est pas permis, surtout à une
époque comme la nôtre, de l’éluder. L’auteur l’a compris. Il n’a point hésité
à aborder ces questions complexes de l’art et de la civilisation sous leurs faces
diverses, multipliant les horizons toutes les fois que la perspective se déplaçait,
et acceptant toutes les indications que le sujet, dans sa nécessité rigoureuse,
lui offrait. De cet agrandissement du point de vue est né ce livre.


<small>Hauteville-House, 1864.</small>







<big>'''PREMIÈRE PARTIE'''</big>
<big>'''PREMIÈRE PARTIE'''</big>

Version du 27 février 2016 à 09:59

Ce texte est en cours d’édition. Sa présentation n’est pas terminée, il est possible qu’il contienne des fautes d’orthographe ou de typographie, et il peut en manquer certaines parties. Vous pouvez cependant participer à son élaboration au cours de votre lecture.

A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, éditeurs.
TABLE


 iii
PREMIÈRE PARTIE.
Livre_ I. — 
Shakespeare. — Sa vie. 
 vii
II. — 
Les Génies. — Homère, Job, Eschyle, Isaïe, Ézechiel, Lucrèce, Juvénal, Tacite, saint Paul, saint Jean, Dante, Rabelais, Cervantes, Shakespeare. 
 47
III. — 
L’Art et la Science. 
 125
IV. — 
Shakespeare l’Ancien. 
 161
V. — 
Les Âmes. 
 225

DEUXIÈME PARTIE.
Livre_ I. — 
Shakespeare. — Son génie. 
 249
II. — 
Shakespeare. — Son œuvre. Les points culminants. 
 289
III. — 
Zoïle aussi éternel qu’Homère. 
 329
IV. — 
Critique. 
 363
V. — 
Les esprits et les masses. 
 393
VI. — 
Le Beau serviteur du Vrai. 
 421
TROISIÈME PARTIE. — CONCLUSION.
Livre_ I. — 
Après la mort. — Shakespeare. L’Angleterre. 
 461
II. — 
Le dix-neuvième siècle. 
 503
III. — 
L’histoire réelle. Chacun remis à sa place. 
 523


FIN DE LA TABLE.

PREMIÈRE PARTIE


Livre I. Shakespeare, sa vie.


Livre II. Les Génies.


Livre III. L’Art et la science.


Livre IV. Shakespeare l’ancien.


Livre V. Les Âmes.



DEUXIÈME PARTIE


Livre I. Shakespeare, son génie.


Livre II. Shakespeare — Son œuvre — Les points culminants.


Livre III. Zoïle aussi éternel qu’Homère.


Livre IV. Critique.


Livre V. Les esprits et les masses.


Livre VI. Le Beau serviteur du Vrai.



TROISIÈME PARTIE : CONCLUSION


Livre I. Après la mort — Shakespeare — L’Angleterre.


Livre II. Le dix-neuvième siècle.


Livre III. L’histoire réelle — Chacun remis à sa place.