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{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Ce que je fais ? Mais rien qu’un dialogue subtil avec les poutres de la maison.


{{personnage|DEUXIÈME DISCIPLE.|c}} Malheur à moi ! Qui met le feu à notre maison ?
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Ce que je fais ? Mais rien qu’un dialogue subtil avec les poutres de la maison.
{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Celui à qui vous avez pris son manteau.


{{personnage|DEUXIÈME DISCIPLE.|c}} Tu nous tues, tu nous tues !
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Malheur à moi ! Qui met le feu à notre maison ?
{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} C’est justement ce que je veux, pourvu que la hache ne trahisse pas mes espérances, et qu’auparavant je ne me casse pas le cou, en tombant.


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{{personnage|SOKRATÈS.|c}} Hé ! J’homme ! Qu’est-ce que tu fais donc réellement, toi qui es sur le toit ?


Celui à qui vous avez pris son manteau.
{{personnage|STREPSIADÈS.|c}} Je marche dans les airs, et je contemple le soleil.


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Tu nous tues, tu nous tues !
{{personnage|CHÉRÉPHON.|c}} Et moi infortuné, j’ai l’infortune d’être rôti !

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C’est justement ce que je veux, pourvu que la hache ne trahisse pas mes espérances, et qu’auparavant je ne me casse pas le cou, en tombant.

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Hé ! l’homme ! Qu’est-ce que tu fais donc réellement, toi qui es sur le toit ?

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Je marche dans les airs, et je contemple le soleil.

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Malheur à moi ! Je vais misérablement étouffer !

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Et moi infortuné, j’ai l’infortune d’être rôti !

Version du 6 mars 2017 à 19:35

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STREPSIADÈS.

Ce que je fais ? Mais rien qu’un dialogue subtil avec les poutres de la maison.

DEUXIÈME DISCIPLE.

Malheur à moi ! Qui met le feu à notre maison ?

STREPSIADÈS.

Celui à qui vous avez pris son manteau.

DEUXIÈME DISCIPLE.

Tu nous tues, tu nous tues !

STREPSIADÈS.

C’est justement ce que je veux, pourvu que la hache ne trahisse pas mes espérances, et qu’auparavant je ne me casse pas le cou, en tombant.

SOKRATÈS.

Hé ! l’homme ! Qu’est-ce que tu fais donc réellement, toi qui es sur le toit ?

STREPSIADÈS.

Je marche dans les airs, et je contemple le soleil.

SOKRATÈS.

Malheur à moi ! Je vais misérablement étouffer !

KHÆRÉPHÔN.

Et moi infortuné, j’ai l’infortune d’être rôti !