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l’entrée d’espagne

11126. Cf. la note relative au v. 2124.

11141. Au lieu de ſers, lire fers.

11156. Lire plutôt, avec un vers dodécasyllabe :

Ces brances lui batent parmi son garnimant.

11157. On peut conserver dans le texte la leçon de A, gaumentot ; cf. gaument au v. 2310.

11163-4. Cf. la note relative au v. 3052.

11166. Il vaut mieux mettre une simple virgule après ce vers, et un point et virgule après le suivant.

11208. Au lieu de Roxeillou, lire Roxeillon.

11218-11225. Allusion manifeste à la célèbre chanson des Quatre Fils Aimon, mais dont les détails ne correspondent pas à ceux que nous a transmis cette chanson même dans les différentes rédactions qui s’en sont conservées.

11228. Ce vers est remarquable en ce qu’il montre que dans l’esprit de l’auteur de l’Entrée d’Espagne il s’établit une confusion passagère entre le Girard de Roussillon contemporain de Charlemagne et le héros de la chanson de Girart de Roussillon. C’est en effet dans cette dernière chanson qu’il est fait une mention spéciale de « l’escarboucle étincelante [du château de Roussillon] qui fait qu’à minuit on se croirait à midi » (P. Meyer, Girart de Roussillon, p. 25). Une confusion analogue se trouve dans Gaufrei, v. 4054, et elle a été relevée par M. P. Meyer (op. laud., p. xcix) :

Vers Roussillon s’en va, la ou l’escarbougle art.

11301 et ss. Allusion à la chanson de geste de Mainet ; cf. la note relative aux vers 93-94. Les deux félons non nommés sont les « fils de la serve », Heudri et Rainfroi (ou Hainfroi). Morand est Morand de Rivier. Gallion, neveu de Braibant, ne figure pas dans les récits que nous possédons, mais il est mentionné, comme ayant été tué par Charlemagne, dans le roman franco-italien d’Aquilon de Bavière ; voir Romania, XI, 563.

11378. Ce « sire de Clermont » est inconnu d’ailleurs ; remarquer que le même titre est donné à Roland au v. 15669.