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centré et tout parisien de Baudelaire. Il lui avait conseillé un séjour à la campagne, le travail dans la solitude, une sorte de retraite. Baudelaire allait, mais fort rarement, je crois, visiter Victor Hugo, de 1842 à 1846. Il lui dédia successivement plusieurs Fleurs du mal. » (Notes de M. Prarond.)

Les journaux intimes de Baudelaire et sa correspondance contiennent de curieux passages qui prouvent que l’amitié, qui n’a cessé d’unir officiellement les deux poètes, recouvrait de sourdes dissidences et, vers la fin, une antipathie profonde.