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point enfilé par les feux de Granite-house. Ils s’y livrèrent donc à leur instinct de déprédation, saccageant, brûlant, faisant le mal pour le mal, et ils ne se retirèrent qu’une demi-heure avant l’arrivée des colons, qu’ils devaient croire encore confinés au corral.

Nab s’était précipité hors de sa retraite. Il était remonté sur le plateau, au risque d’y recevoir quelque balle, il avait essayé d’éteindre l’incendie qui consumait les bâtiments de la basse-cour, et il avait lutté, mais inutilement, contre le feu, jusqu’au moment où le chariot parut sur la lisière du bois.

Tels avaient été ces graves événements. La présence des convicts constituait une menace permanente pour les colons de l’île Lincoln, jusque-là