Utilisateur:Bizot/Abrégé Histoires Aristodème de NysaFragments d’Aristodème de Nysa
{{source FRAGMENTS INÉDITS, DE L'HISTORIEN GREC, ARISTODÈME, RECUEILLIS ET PUBLIÉS C. WESCHER
Annuaire de l'Association pour l'encouragement des études grecques en France,
Vol. 2 (1868), pp. 53, 55-78
https://www.jstor.org/stable/44319006}}
Aristodeme de Nysa
Texte de l’en-tête |
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Fragments de l'Histoire d' Aristodeme de Nysa ( 1er siècle avant J-C ) |
sources probable : Abrégé Histoire d'Hérodote par Théopompe, Histoire d'Ephore |
Histoires livres IV et V |
Histoires livres IV et V Fragments de l'Histoire d' Aristodeme de Nysa ( 1er siècle avant J-C ) établi par M. WESCHER [1] Palimpeste de 7 feuillets en velin Couvent du Mont Athos ramené par Minoïde Minas. Ecriture du X ème siècle.
Traduction en Français Par C WESCHER 1867 =====
notes infrapaginales en partie de C WISCHER (et présente actualisation moderne) Fin du IV ème livre provenant d'Aristodème.
Sources probables : Auteur:Hérodote, Théopompe (Abrégé), Ephore de Cymè ( Histoires).
(Thémistocle Ayant demandé un délai d'un seul jour, envoya Sikinos[2], le gouverneur de ses enfants , vers Xerxès pour l'inviter a attaquer les Grecs et a combattre sur mer, lui montrant dans l'avenir la déroute de Salamine. Xerxès, pensant que Thémistocle avait expédié ce message par amitié pour les Mèdes envoya ses vaisseaux sur Salamine et fit cerner les Grecs pour les attendre.Xerxès voulait [3] en construisant un pont, passer a pieds dans Salamine, comme il avait passé sur l'Hellespont. Ayant construit une partie de ce pont, il vint a Héraclion. Mais comme il était impossible de parfaire la jonction, il s'installa sur le Parnès ( cette montagne est voisine), et de là il contempla la bataille navale.
La lutte fut ouverte par Aminias l'Athénien[4], fils d'Euphorion, frère de Cynégire et du poête Auteur:Eschyle. Tous les Grecs furent vainqueurs, mais les Athéniens se distinguèrent. Le Combat engagé, Xerxès fit passer plusieurs myriades d'hommes dans l'ile voisine de Salamine appelée Psytalie, pour épouvanter les Grecs, et aussi pour sauver les débris du naufrage. Aristide l'Athénien, fils de Lysimaque, appelé le Juste[5], banni d'Athènes par l'ostracisme et se trouvant alors a Egine, voulut lui aussi combattre avec les Grecs : il se présenta à Thémistocle, et lui demanda une armée pour repousser ceux de Psytalie. Thémistocle, bien qu'il fut l'ennemi personnel 'Aristide, la lui donna cependant.
L'ayant reçue, Aristide débarqua dans Psytalie, et mis a mort tous les barbares. Et ce fut le plus grand exploit accompli du coté des Grecs. Sur mer la lutte eut plus d'éclat, et Aminias y remporta le prix de la valeur. Du coté des barbares, ce fut une femme, Halicarnassienne de naissance, dont le nom est Artemise [6] Voyant son vaisseau poursuivi et elle même sur le point de périr, elle coula rapidement le vaisseau qui était devant le sien, et qui lui appartenait. Aminias la croyant alors alliée aux Grecs, arrêta de la poursuivre [7]. En contemplant ce fait Xerxès dit : les Hommes chez moi sont devenus des femmes, et les femmes des hommes. Ceux des Grecs qui, après les Athénien, se distinguèrent le plus, furent les Eginètes : rangés en bataille dans la gorge du détroit, ils saisirent au passage beaucoup de vaisseaux barbares, et les coulèrent au fond de l'eau. Les barbares vaincus et mis en fuite, les Grecs voulurent alors détruire la communication établie sur l'Hellespont, et arrêter Xerxès sur la terre de Grèce. Thémistocle, pensant que cela même n'était pas sûr, et craignant que les barbares, s'ils désespéraient du salut, n'en vinrent à braver plus volontiers le danger, agit dans le sens opposé Ne pouvant rien sur des esprits prévenus, il fit secrètement savoir à Xerxès que les Grecs allaient bientôt détruire le pont[8]. Xerxès effrayé s'enfuit. Dans le combat naval de Salamine, les Dieux mêmes combattirent avec les Grecs. Inéos fils de Théocydès, homme d'Athènes, affirma avoir vu dans la plaine Thriasienne un tourbillon de poussière venant du coté d'Eleusis et sous les acclamations de vingt miliers d'hommes que soutenait le mystique Iacchos (?) , lequel tourbillon changé en nuage vint tomber sur les vaisseaux des Grecs[9]. Pendant que Xerxès fuyait, Mardonius, fils de Gobryas, dont le père avait conspiré contre les mages, et qui lui même avait conseillé à Xerxes de marcher contre la Grèce, accusa l'excessive multitude des barbares d'être la cause de la défaite. Il promit de vaincre les grecs, si on lui donnait une armée de trois cent mille hommes. Layant reçue[10], Mardonius envoya d'abord aux Athéniens Alexandre de Macédoine, aïeul de Philippe, avec mission de leur offir dix mille talents et autant de territoire qu'il voudreaient en Grèce, et de leur promettre le maintien de leur liberté et de leur autonomie, s'ils consentaient à rester neutres, et a ne pas s'allier aux Grecs.[11]
Lorsque Alexandre se présenta dans Athènes et fit ces ouvertures, les Athèniens loin d'accueillir ses propositions, le renvoyèrent avec ignominie. Mardonius, a la suite de cet échec, marcha sur Athènes, et incendia les parties de la ville encore subsistantes. Puis il entra dans Athènes avec son armée, et y campa. Les grecs campaient a Platée . La distance entre Thèbes et Platée est de soixante-dix stades. Mardonius comptait dans les rangs de son armée quarante mille Béotiens. L'aile droite était occupée par les Perses et Mardonius ; [12] l'aile gauche par les Grecs ralliés aux Mèdes. Du coté des Grecs, les Athéniens occupaient l'aile droite, Les Lacédémoniens l'aile gauche; mais les Lacédémoniens transposèrent cet ordre en disant que les Athéniens connaissaient mieux l'art de combattre les Perses. Cependant Mardonius, redoutant d'avoir a combattre les Athéniens, déplaça sa phalange, et il advint ainsi que les Lacédémoniens , contre leur gré, durent combattre les Perses. [13] Le stratège des Lacédémoniens était Pausanias , fils de Cléombrote, quant a celui des Athéniens , Aristide le juste. l'engagement avec les Perses ayant eu lieu, les Athéniens vinrent au secours des Lacédémoniens et vainquirent . Là tomba Mardonius, qui combattait tête nue, sous les coups d'Aeimnestos, un homme de Lacédémone. Là aussi se distingua cet Aristodème qui était revenu des Thermopyles et qui, pour ce fait, était appelé le trembleur. C'est pourquoi les Spartiates ne lui donnèrent pas le prix de la valeur, pensant que sa désertion première était l'œuvre de la volonté, et que son dernier acte de bravoure était l'œuvre de la fortune. Lorsque Mardonius fut tombé, les Perses s'enfuirent a Thèbes, et les Grecs qui s'attachaient à leurs pas, en tuèrent cent vingt mille. [14] Soixante mille d'entre eux s'en retournèrent dans leur patrie, lorsque Alexandre le Macédonien, ayant traité en son propre nom avec les Athéniens lors de la mission que Mardonius lui avait confiée, massacra tous les Perses qui se trouvaient en Macédoine, pour se justifier d'avoir servi les Mèdes malgré lui.
Les Grecs montés sur leurs vaisseaux poursuivaient la flotte de Xerxès. Ayant franchi les quatre mille stades qui séparent Salamine de Milet. Là ils surprirent les vaisseaux des barbares. Déja ils étaient prêts a engager le combat sur mer, lorsque les barbares, ne se fiant pas aux vaisseaux, après avoir éprouvé l'habileté des Athéniens sur mer, débarquèrent et campèrent autour de Mycale, une montagne du territoire de Milet. les Grecs débarquant, tombèrent sur eux, et en tuèrent quarante mille, et prirent aussi les vaisseaux déserts. Ainsi les Grecs en même temps que se livrait la bataille de Platée, vainquirent à Mycale. Le stratège a Mycale était du coté des Lacédémoniens, le roi Léotychidas, et le stratège du coté des Athéniens, Xanthippe, fils d'Ariphon et père de Péricles. Les Grecs a Platée, érigèrent des trophées après cette victoire, et célèbrerent une fête qu'ils appelèrent la fête de la liberté. [15]
FIN DU LIVRE IV ABREGE HISTOIRE ARISTODEME DE NYSA
Depuis l'expédition des Perses jusqu'a la guerre du Péloponnèse [ x année] [16] Il se passa les faits suivants : Lorsque les Perses eurent été chassés par les grecs [ après les batailles de Platées et Mycale] [17]
Les Athèniens demeurent devant Sestos, occupés à combattre. Pausanias, fils de Cléombrote, stratège des Lacédémoniens, cédant au désir de briller en Grèce, ne recula pas devant la trahison , et convint avec Xerxès de lui livrer les Grecs pour recevoir ensuite sa fille en mariage. [18] Exalté par cette espérance et par le succès de Platée, il oublia toute modération. Il commença par consacrer un trépied à l'Apollon de [Delphes], et y fit graver cette inscription : Chef suprême des Grecs, ayant détruit l'armée des Mèdes, Pausanias a consacré cet objet a Phébus. [19] La domination qu'i exerçait sur ses inférieurs devint amère et tyrannique. Renonçant aux mœurs de Sparte, il prit l'habitude de porter le costume des Perses, et de se faire dresser des tables magnifiques à la façon persane. En ce temps là, les Athéniens, voyant leur ville brûlée par Xerxès et Mardonius, délibéraient pour relever les murs de la Cité. Les Lacédémoniens s'y opposèrent, sous pretexte qu'Athènes était le point d'entrée pour un débarquement des barbares qui voulaient pénétrer en Grèce, mais en réalité parce qu'ils étaient jaloux et ne voulaient pas voir renaître la grandeur d' Athènes.[20] Mais Thémistocle , par son habileté supérieure [21] déjoua la ruse jalouse de Sparte. Après avoir donné aux Athéniens le signal de la reconstruction des murs, il partit comme ambassadeur a Lacédémone. Le bruit vint à courir parmi les Lacédémoniens que les Athéniens fortifiaient leur cité, mais Thémistocle le démentit. Comme les Lacédémoniens restaient incrédules, il leur conseilla d'envoyer quelques-uns des leurs en ambassade à Athènes, pour voir si on fortifiait effectivement la ville. Les Lacédémoniens ayant choisi a cette fin des hommes, et les ayant fait partir, Thémistocle manda secrètement aux Athéniens de retenir les envoyés de Sparte jusqu'à son propre retour. Les Athéniens exécutèrent cet ordre. Les Spartiates s'apercevant de la ruse de Thémistocle, ne lui firent aucun mal par crainte pour leur propres concitoyens. [22] Ensuite ils rendirent Thémistocle et obtinrent la remise des leurs.
Dans l'intervalle, Athènes fut fortifiée de la manière suivante. Le péribole de la cité fut enceint de murailles sur une longueur de soixante stades. Les longs murs conduisant au Pirée eurent de chaque coté une longueur de quarante stades. Le péribole du Pirée en eut quatre vingt. Le port du pirée est divisé en deux parties; l'une d'elle est appelée Munychie ; [23] l'autre extrémité droite du Pirée, elle porte encore dans l'état actuel le nom de Dia. Enfin il y a une colline au Pirée sur laquelle s'élève le temple de Diane.[24] Le mur de Phalère fut bâti sur une longueur de trente stades, et sur une largueur suffisante pour laisser passer deux chars qui se rencontreraient. Ainsi fut fortifiée la cité d'Athènes. Thémistocle, jalousé a cause de la supériorité de son intelligence, et de son mérite, fut chassé par les Athéniens, et vint à Argos. Les Lacédémoniens de leur coté, sur le bruit de la trahison ourdie par Pausanias, lui envoyèrent un message, et le rappelèrent pour présenter sa défense. Pausanias revint alors à Sparte et se défendit. Il trompa les Lacédémoniens, se fit absoudre, puis s'échappa et recommença ses machinations. Cependant les Grecs, révoltés contre Sparte à cause de la tyrannie de Pausanias, s'allièrent aux Athéniens. Et c'est ainsi qu'Athènes, percevant alors de nouveaux tributs, recommença à grandir. Des vaisseaux furent construits [ son armée se renforça][25] Un trésor fut établi a Délos [suite a l'alliance conclue entre les cités] les talents rassemblés à Délos furent transportés à Athènes, et déposés dans l'intérieur de l'acropole.
Pausanias, qui résidait a Byzance, se déclara ouvertement pour les Mèdes, et indisposa alors les Grecs. Il lui arriva en outre le fait suivant : un habitant de Byzance nommé Coronidès avait une fille que Pausanias demanda a son père. Coronidès craignant le ressentiment cruel de Pausanias, lui envoya alors sa fille. Elle se présenta pendant la nuit dans la chambre de Pausanias endormi, et se tint debout près de son lit. Pausanias s'eveillant à demi, et croyant qu'on était entré pour l'assassiner, saisit son poignard, et perça la jeune vierge, et ainsi la tua. Et pour ce fait, il entra en délire, et devenu comme fou, il criait bien souvent comme s'il était alors flagellé par cette jeune vierge. Un long espace de temps s'écoula, qui lui permit de fléchir les ma^nes de cette jeune fille, et ainsi il en fut délivré. Cependant sur ces entres faits il ne renonçait nullement à sa trahison. Il écrivit ainsi diverses lettres à Xerxès, et les remit à son favori Argilios, en lui ordonnant de les porter à Xerxès.[26] Argilios craignant pour lui-même, car les précédents courriers n'étaient pas revenus, n'osa pas aller vers Xerxès. Il préféra venir à Sparte, et révélant alors aux éphores le secret de la trahison de Pausanias, et s'engager a le confondre. Tout ce projet étant convenu, il se rendit au Ténare, et s'établit alors a cet endroit comme suppliant dans l'enceinte consacrée a Neptune. Les éphores, s'y sont alors présentés de leur coté, puis y dressèrent une tente à double compartiments, ils s(y cachèrent. Pausanias qui ne savait rien de cette machination, mais qui apprit qu'Agilios était venu en suppliant, alla vers lui. Il lui reprocha de n'avoir pas porté les lettres à Xerxès, et donna aussi quelques autres preuves de sa trahison. Les éphores entendant ces paroles, ne l'arrêtèrent pas sur le champ, à cause de la sainteté du lieu, et le laissèrent partir. Plus tard lorsqu'il fut venu a Sparte, ils voulurent l'arrêter, mais Pausanias s'en douta, et il courut se réfugier dans le temple de Minerve chalcioecos, où il demeura comme suppliant.[27] Les Lacédémoniens se trouvèrent bien embarrassés en raison de leur respect pour la Divinité, mais la mère de Pausanias, apportant une brique, la posa à l'entrée du temple, et inaugura ensuite pour la suite le châtiment de son fils. Les lacédémoniens la suivirent, et firent murer l'enceinte sacrée. Pausanias ayant péri de faim, ils le montèrent sur le toit, le tirèrent hors du temple au moment où il expirait, et jetèrent son corps. Et pour ce fait la peste s'empara d'eux [28] L'oracle leur ayant répondu qu'elle cesserait lorsqu'ils auraient apaisé les mânes de Pausanias. Ils lui élevèrent alors une statue, et la pesta cessa ensuite.
Un débat s'est élevé parmi les Grecs sur la question de savoir dans quel ordre devaient être inscrits les alliés qui avaient combattu contre les Mèdes. Les Lacédémoniens imaginèrent un disque sur lequel ils inscrivirent circulairement les noms des cités qui avaient combattu, de tel sorte qu'il n' y eut ni premiers, ni derniers. [29] Les lacédémoniens , après la fin ignominieuse de Pausanias, persuadèrent les Athéniens qu'ils avaient découvert dans les lettres de Pausanias, les preuves que Thémistocle était un complice de cette trahison. Thémistocle redoutant les Lacédémoniens, ne resta pas dans Argos, mais partit pour Corcyre, puis de la pour le pays des Molosses, ou régnait Adméte, jusque-là son ennemi personnel. Les Lacédémoniens vinrent ensuite auprès d'Adméte pour le reclamer, cependant la femme d'Adméte, conseilla secrètement a Thémistocle de prendre le jeune enfant du roi, et de s'assoir avec lui sur le foyer comme un suppliant. Ce que fit Thémistocle. Ainsi Adméte le prit en pitié et ne livra pas, mais répondit aux Péloponnésiens que la religion ne permet pas de livrer un suppliant. Ensuite Thémistocle ne sachant pas ou aller, navigua vers la Perse. Il faillit dans cette naviguation, être pris et arrêté. Au moment où les Athéniens étaient en guerre avec Naxos, le vaisseau de Thémistocle surpris par une tempête, fut poussé vers Naxos. Thémistocle, craignant de tomber au pouvoir des Athéniens, menaça le pilote de le tuer, s'il ne résistait pas aux vents contraires. Alors le pilote qui était effrayé décida de jetter l'encre en haute mer, et lutta contre le vent. Sauvé par ce moyen, Thémistocle arriva ensuite en Perse. Il n'y retrouva pas le roi Xerxès vivant, mais son fils a sa place Artaxerxes, en la présence duquuel il ne comparut pas. Ce ne fut d'après avoir étudié un an la langue perse, qu'il se presenta auprès d' Artaxerxès, auquel il rappela les services qu'il paraissait avoir rendu à Xerxès, son père, et prétendit même l'avoir sauvé. Notamment au moment de la rupture du pont[30]. Il s'engagea ensuite, si on lui donnait une armée, à mettre la main sur les Grecs. Artaxerxès en écoutant ces paroles, décida de lui donner une armée avec trois villes pour sa subsistance. Magnésie pour le blé, Lampsaque pour le vin, Myonte pour les produits maritimes. Thémistocle ainsi pourvu, vint a Magnésie, mais se trouvant a cet endroit si près de la Grèce, fut saisi de repentir, et pensa qu'il ne puvait pas faire la guerre à ses propres compatriotes. Et alors sacrifiant à Diane, et Leucophryne, il plaça une coupe sous un taureau égorgé, la remplit de sang, puis la but et mourut [31]
- ↑ WESCHER Revue Journal des savants décembre 1867 p.362 sur la Poliorcétique Grec
- ↑ cité par Hérodote VIII 75 et 110
- ↑ Selon Suidas:terme tiré de l'Abrégé d'Hérodote par Théompompe
- ↑ Hérodote VIII, 84 et 93
- ↑ Hérodote VIII 79( actualisation)
- ↑ Hérodote VIII, 88 avec la forme ionienne de son nom
- ↑ Hérodote VIII, 87 actualisation 88 avec mention de ce stratagème
- ↑ Hérodote VIII 110, présente bien différemment ce message envoyé au Perses ( actualisation )
- ↑ actualisation : pas trouvé cette reference dans Hérodote mais Théopompe ne rechigait pas a parler de ce genre de "miracle" dans ses histoires au dires de Polybe
- ↑ c.a.d l'armée promise
- ↑ une très forte somme, et grande promesse
- ↑ Hérodote IX, 58
- ↑ Hérodote contrairement a Aristodème précise que les Lacédémoniens ne voulaient pas combattre directement les Perses en raisons de présages religieux, non par lâcheté
- ↑ chiffre manifestement très exagéré mais qu'Hérodote confirme IX,70
- ↑ fête ordinairement appelée les Eleuthéries
- ↑ Source probable Ephore de Cymè
- ↑ petite lacune du manuscrit
- ↑ une grave trahison expliquée par Ephore ? ce n'est pas mentionné par Hérodote
- ↑ cité par Thucydide I, 132 qui raconte les tractations de Pausanias avec les Perses
- ↑ semble être un commentaire rétrospectif d'Aristodème car le fait se passe avant l'époque de Périclès ?
- ↑ éloge rétrospectif d' Ephore, d' Aristodème ?
- ↑ les envoyés lacédémoniens retenus par Athènes, il devaient s'agir de personnages assez importants
- ↑ C WESCHER remarque que le terme du manuscrit en grec est d'écriture étolienne ce qui semble accréditer un texte d'Aristodème de Nysa
- ↑ on voit que l'auteur s'adresse à un public qui ne connait pas forcement bien la géographie attique, et décrit un état de la ville ancien ( mention de Dia et de l'état actuel ) ce qui implique que ce ne peut pas être un écrit d'attidographe ancien
- ↑ petite lacune du texte
- ↑ coir Thucydide I,134
- ↑ thucydide I,134
- ↑ Aristodème semble souscrire ici à la réalité de la punition de la déesse ( actualisation)
- ↑ cette information est inédite (actualisation)
- ↑ lacune du texte dans le manuscrit
- ↑ Thucydide parle sobrement de maladie, mais Stratoclès au dire de Cicéron brutus XI, décrit l'évenement comme Aristodème de Nysa