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Discussion:La Capucinière, ou le bijou enlevé à la course

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Dernier commentaire : il y a 3 ans par Cunegonde1
Informations sur l’édition de La Capucinière, ou le bijou enlevé à la course

Édition : La Capucinière, ou le bijou enlevé à la course Poème ; Pierre-François Tissot


Source : Gallica


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 12 janvier 2021 à 16:50 (UTC)Répondre


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 12 janvier 2021 à 16:50 (UTC)Répondre




Notice de la BNF

Titre : La Capucinière, ou le bijou enlevé à la course, Poème
Auteur : Pierre-François Tissot. Auteur du texte
Éditeur : Chez les Marchands de Nouveautés
Date d'édition : 1820
Type : text
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : Gr. in-8° , XII-68 p., pl.
Format : Nombre total de vues : 105
Droits : domaine public
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1524619b
Source : GallicaDépartement Réserve des livres rares, Enfer-465
Notice
du catalogue :
33280436w
Provenance : Bibliothèque nationale de France
Date de mise
en ligne :
21/07/2019



informations sur cette édition :[modifier]

  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 1, col. 474 : « Capucinière (la) , ou le Bijou enlevé à la course, poème, par Félix Nogaret. Ce conte, paru vers 1780, procura à l’auteur un logement à la Bastille. Réimpr. Paris, 1808, 1809, 1820, in-8 et in-12, fig. au trait, 80 p. Peu commun. — Claudin, 1865, 4 fr. ; Pixerécourt, 5 fr. »
  2. Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote : 465. — La Capucinière, ou Le Bijou enlevé à la course. Poème. «… On peut avoir des mœurs et peindre ceux qui n’en ont guère. » — Paris, chez les Marchands de Nouveautés, 1820.
    1 volume grand in-8 de xii-68 pages, avec 6 planches (non libres) au trait.
    Demi-reliure maroquin rouge, plats marbrés, dos orné, ébarbé, signée Allô.
    Réimpression de l’édition originale de 1780. Par Pierre-François Tissot.
    Attribué bien à tort à Nougaret, par suite d’une confusion avec un autre ouvrage intitulé : La Capucinade.
    Conte spirituel et fort badin, qui valut à Tissot son logement à la Bastille.
    Cité au Catalogue Wittersheim, page 13.