Aller au contenu

Discussion:La Nonne Alferez

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Ajouter un sujet
La bibliothèque libre.

Le texte de La Nonne Alferez donné ici est celui publié dans la Revue des deux Mondes, 1894. Les courts résumés placés en tête des chapitres proviennent de l'édition en volume publiée la même année aux éditions Alphonse Lemerre (voir section suivante).

Édition en volume[modifier]

L’édition en volume (chez Alphonse Lemerre, dans la « collection Lemerre illustrée », 1894) comprend, en plus du texte de la RDM :

  • des illustrations de Daniel Vierge gravées par Privat-Richard ;
  • de courts résumés, placés en tête de chaque chapitre : ils sont repris ici en utilisant <includeonly></includeonly> ;
  • une note bibliographique (texte ci-dessous), de José-Maria de Heredia.
NOTE BIBLIOGRAPHIQUE


Cest à l’obligeance de l’éminent érudit D. Pedro de Madrazo que nous devons nos renseignements sur la Relacion Verdadera et la Segunda Relacion imprimées à Madrid par Bernardino de Guzman en 1624 et 1625, et sur les manuscrits de La Vida y sucesos de la Monja Alferez, dont l’un appartient à D. Sancho Rayon et l’autre à la Bibliothèque de la Royale Académie de l’Histoire. Ce dernier provient de Muñoz et a servi à M. de Ferrer pour établir le texte de l’Historia, imprimée en 1829 par Jules Didot. L’année suivante, Bossange édita une très médiocre version française, qui est aujourd’hui peut-être encore plus rare que l’original. Nous avons eu sous les yeux une autre édition de l’Historia (Barcelona, imprenta de Jose Tauló, 1838) qui n’est qu’une reproduction du texte de Ferrer.

Nous devons mentionner encore, dans le Musée des familles de 1838-39, un article où, en quelques pages, la duchesse d’Abrantès a fort agréablement résumé la vie de notre héroïne. Enfin, M. Alexis de Valon (Nouvelles et Chroniques. Dentu, 1851), dans un récit intitulé Catalina de Erauso, a fâcheusement dénaturé cette figure singulière de la Monja Alferez, dont les Mémoires si caractéristiques nous ont paru dignes d’être fidèlement traduits en français.

J.-M. H.