Discussion Auteur:Robert Louis Stevenson

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Dernier commentaire : il y a 13 ans par Marc dans le sujet Note sur les Gais Lurons

Il existe au moins une traduction de tous les romans de Stevenson (quelques-uns sont disponibles en deux ou trois traductions dans le domaine public) ; la première traduction du Trafiquant d'épaves (Le Secret du navire) n'est cependant qu'un résumé, et la deuxième est abrégée presque de moitié. Certaines nouvelles (Les Gais Lurons, Olalla, etc.) sont également disponibles en plusieurs traductions ; apparemment, il existe au moins une traduction dans le domaine public pour presque toutes les nouvelles.

En revanche, il ne semble pas possible d'éditer ici les récits de voyages et les essais. Marc 26 juin 2009 à 15:15 (UTC)Répondre

Comme récit de voyages, À la pagaie sur l’Escaut est peut-être la traduction complète d’Un voyage dans les Terres. Dans les mers du sud n’est pas traduit complètement (mais il s’agit d’une édition posthume). Plusieurs romans posthumes (inachevés) ont été traduits très tôt, ainsi que quelques nouvelles. Concernant les nouvelles, Le Pavillon sur la lande et Le Voleur de cadavres ne semblent pas avoir de traduction libre. Il ne semble y avoir aucune traduction disponible des textes de jeunesse, des poésies et de la correspondance. Il existe cependant deux lettres de Stevenson écrites en français.

  • L'Île au trésor, trad. André Laurie (Paschal Grousset), 1885 (trad. parue dans Le Temps, disponible sur Gallica, archive.org)
  • Suicide-Club. Le Diamant du rajah, Traduction de Louis Despréaux
  • Le Dynamiteur. Traduit de l'anglais par Georges Art. Préface de Marcel Schwob, 1894
  • Le Secret du navire, in Journal des Voyages, 1896 (version abrégée du Trafiquant d'épaves)
  • Le Roman du prince Othon, traduit de l'anglais par Egerton Castle, 1897
  • Will du moulin, traduit par Marcel Schwob, in La Vogue, mai 1899
    traduction disponible aux éditions Allia.
  • À la pagaie sur l'Escaut, le canal de Willebrock, la Sambre et l'Oise, trad. Lucien Lemaire, 1900
    au moins plusieurs chapitres d’Un voyage dans les Terres publiés en revue.
  • La Flèche noire, traduit de l'anglais par E. La Chesnais, 1901
  • Voyage à travers les Cévennes avec un âne, adaptation française par A. Moulharac (c'est une « adaptation » qui semble réduire le texte au moins de moitié), 1901
  • L'île au trésor, traduction intégrale avec une préface de l'auteur traduite en français pour la première d'Albert Savine et d'Albert Lieutaud
  • Saint-Yves : aventures d'un prisonnier français en Angleterre , traduction de T. de Wyzewa, 1904 Gallica
  • Enlevé ! : mémoire relatant les aventures de David Balfour en l'an 1751, traduit par Albert Savine, 1905
  • Le Mort vivant, traduit par T. de Wyzewa, 1905
  • Le Reflux, traduit par T. de Wyzewa, 1905.
  • Le Naufrageur, roman traduit de l'anglais avec l'autorisation de l'auteur par L.-M. Zeys, 1906 (abrégé environ de moitié)
  • Les Aventures de David Balfour, traduction de l'anglais par Mme Marie Dronsart, 1907.
  • Catriona, traduit de l'anglais par Jean de Naÿ, 1907.
  • Les Nuits des îles, mis en français par Fred Causse-Maël (1892-1951), avant-propos de Pierre Mac Orlan, couverture et frontispice de Daragnès, Édition française illustrée, 1919
  • L'île au trésor, traduit par Déodat Serval.
  • L'île au trésor, traduit par Théo Varlet. Cette traduction est différente de la précédente, même s'il existe un certain nombre de points commun. (On trouve cette dernière traduction aux éditions Pocket)
  • Dans les mers du Sud, traduit par Théo Varlet, 1920
  • Dans les mers du Sud, récit d’expériences et d’observations faites dans les îles Marquises, les Pomotou et les Gilbert au cours de deux croisières sur le yacht « le Casco » (1888) et le schooner « l’Équateur », traduit par Marie-Louyse Des Garets (1882-1957), 1920.
  • Les Gais lurons, Will du moulin, Markheim, Janet la revenante, Olalla, Le Trésor de Franchard, traduits de l'anglais par Théo Varlet, 1920
  • Les Veillées des îles, traduction de Théo Varlet, 1920
  • Le Reflux, traduit par de Théo Varlet, 1925
  • Sillage Les Porteurs de lanternes à télécharger en pdf, traduction de Marie Picard

Note sur les Gais Lurons[modifier]

Pour le moment, l’édition du recueil Les Gais Lurons et autres contes est composée de nouvelles traduites par différentes personnes, ce qui ne correspond à aucune édition en français de ce livre. On pourra remédier à cette présentation un peu confuse quand toutes les traductions de Varlet auront été publiées. D’ici là, je dispose d’une autre traduction de Markheim et de deux traductions de Olalla que je vais sans doute bientôt numériser. Marc (d) 17 mars 2011 à 21:10 (UTC)Répondre