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Ingres d’après une correspondance inédite/Epistolaire d’Ingres

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PREMIERE PARTIE

ÉPISTOLAIRE D’INGRES
Le « Vœu de Louis XIII », à Florence, à Paris et à Montauban

(1818-1827)

sommaire
I. — La mort de sa mère. — Son mariage. — M. de Blacas, après le roi Murat, lui fait des commandes — Le sculpteur Bartolini retrouvé appelle Ingres à Florence
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II. — Préparatifs de départ pour Florence — Raphaël ou Jouvenet ? — Le Christ remettant les Clefs à saint Pierre, peint à la Trinité des Monts.
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III. — Éloge de Bartolini. — Pauvreté du ménage d’Ingres. — L’État lui commande un tableau religieux pour la Cathédrale de Montauban, au prix de 3.000 francs. — Demander 5.000 francs, pour un tableau de 10 pieds.
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IV. — Vive la médiocrité ! À bas le luxe ! — Pour qui finir la Venus naissante ? Tout au grand tableau pour le Salon. — Secours à ses sœurs et frères. — Landon et sa critique d’aboyeur. — Préparer l’avenir par le travail.
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V. — Les épreuves vont-elles finir enlin ? — Règlement de la journée par Ingres et Bartolini. — Cent soixante louis, pour tout avoir à 40 ans. — Continuer les traditions de Raphaël. — l’Assomption pour un Salon prochain. — La Stratonice ou Don Pedro de Tolède pour M. Graves.
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VI. — Commande du Préfet de Montauban pour un Vœu de Louis XIII et non une Assomnption. — Ingres peindra ces deux sujets en un seul. — Sa réputation ne vit pas de Capucins, comme celle de Granet. — Mauvaise vente de ses tableaux au Salon : son Odalisque, p. e. — Demander 3.000 francs de plus à l’État, pour le tableau commandé.
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VII. — Raisons de l’amitié. — Ingres se décide enfin pour un Louis XIII contre une Assomption. — Lui envoyer au moins le calque d’un costume royal. — Le cas qu’il fait de la critique. — Il préfère celle de Miel à celle de Kératry.
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VIII. — Plus de Salon jusqu’au Vœu de Louis XIII achevé. — Vie de travail à l’atelier. — Debia vernira le tableau qu’il envoie à Montauban. Critique du Henri IV.
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IX. — Un tableau embarqué via Marseille. — Un procédé pour bien vernir. — Un cadre noir, s. v. p. !
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X. — Les petits monstres de tableaux. — Singe ou ange, devant Raphaël ? — Savoir imiter et être original. — L’art tombé en quenouille. Ingres serait il le seul à le relever ? — Regrets de Montauban et joie d’y revenir.
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XI. — Ingres détruit plus qu’il ne crée. — Il aime le beau et ne le voit que dans le vrai. — Il faut être exclusif, en art. — Il est monstrueux d’aimer également Murillo, Velasquez et Raphaël. — Aimons surtout la musique et Mozart, le Raphaël des sons. — Visite de Guérin. — Que pense Allaux ? — Toute chose imitée de la nature est une œuvre. — Il peint trop lentement, les tinances baissent. — Sa femme confectionne tout, excepté l’habit, par économie. — Demande d’une recette de boudin à la mode de Montauban.
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XII. Les avantages de la vie à Paris. — De Glück à Mesplet. — Qu’est ce que M. Hersent ? — Ingres ne revoit plus Bartolini, ce Gascon d’Italie. — Il faut travailler pour le Salon.
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XIII. — Le Vœu. de Louis XIII le rend fou au travail. — Il avance dans la parenté de la Vierge de Foligno. — Travaille et tu seras heureux, mais n’oublie pas la musique. — Beethoven est un Mozart en délire.
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XIV. — Ce tyran de tableau ! — Enfin fini, après 4 ans ! — Il va partir pour Paris. — Je l’accompagnerai.
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XV. — Heureux accueil à Paris. — Raphaël et Ingres ? — L’influence italienne arrivée à temps, pour sauver le goût français — Pas même le temps de voir le tableau de Debia.
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XVI. — De succès en succès. — Le volcan des amours-propres, où il marche. — Sa première décoration. — Remplacera-t-il à l’Institut Girodet, mort avec deux dessins d’Ingres à son chevet ? — Ses tableaux sextuplent leurs premiers prix. — À l’Institut il laissera passer M. Thévenin, ex-directeur de la Villa Médicis. — Le Louis XIII est pour Montauban.
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XVII. — Vie diabolique à Paris. — Les dessins pour le Sacre. — Au diable, les portraits ! — N’accompagnera-t-il pas son Louis XIII à Montauban ?
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XVIII. — Le voyage est décidé. — Le tableau part le premier. — Préparatifs pour le recevoir à Montauban. — Ferons-nous un quatuor ?
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XIX. — Recommandation pour l’arrivée du tableau : grande salle et beau jour. — Nous irons à Bruniquel ! — Il ira aussi voir les fresques de Sainte-Cécile d’Albi. — Le Ministère lui accorde un logement aux Quatre Nations.
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XX. — Les premières salves pour Ingres à Montauban. — Descendra-t-il au Tapis Vert ? — Qu’on reçoive surtout bien Louis XIII, et qu’on l’étende aussitôt sur deux chaises, bien déroulé.
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