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Le Correcteur typographe (Brossard)/volume 2/31/05

La bibliothèque libre.
Imprimerie de Chatelaudren (2p. 855-866).


V

COMPOSITION DES INSCRIPTIONS


21. Les inscriptions à reproduire se composent en grandes capitales, soit du corps employé pour le texte, soit d’un corps inférieur, suivant les conventions ou les ordres donnés par l’auteur ou l’éditeur :

T • FLAVIO • CASTORIS
F • CYR • ALEXANDRO
CIVITATE DONATO AB
IMP

22. Il est cependant des exceptions à cette règle :

a) L’artisan a gravé son texte en lettres de diverses grandeurs : par l’emploi de caractères d’œils différents, le compositeur doit s’efforcer de reproduire l’aspect général de l’inscription : les lettres de deux points, les petites capitales, les corps de même force que celui du texte, mais de gros ou de petit œil, peuvent servir pour résoudre ces difficultés :

D ET QUIETI
AETERNAE
M
LUCILI • METROBI
SIGNO SAPRICI

b) Pour graver le nom du personnage auquel le monument est dédié, l’artiste a utilisé une lettre de taille plus haute que pour le texte même de l’inscription : le typographe compose en grandes capitales les mots de la dédicace ; les petites capitales sont utilisées pour le surplus et indiquent suffisamment la différence :

L • NOVIO • CRISPINO
MARTIALI • SATURNINO
COS • DESIG • LEG •

c) La justification ne permet pas de reproduire ligne pour ligne le texte gravé : un corps de force inférieure à celle du caractère choisi pour les autres inscriptions peut être employé, ou même les petites capitales du caractère du texte ;

d) Il est bon d’éviter d’avoir recours au rejet du texte surabondant d’une ligne dans une autre ligne, précédente ou suivante, en raison des confusions que cette disposition pourrait occasionner.

23. Le développement d’une inscription, c’est-à-dire sa rédaction en texte complet, se compose en italique bas de casse de corps inférieur d’au moins deux points à celui du texte de l’inscription :

P • TITINIUS
P • F • AFRICA
NUS • P • V
xxxANNOxxx
H • S • E

P. Titinius, P. (Titinii) f(ilius), Africanus p(ius) v(ixit) anno.
H(ic) s(itus) e(st).

24. Pour la traduction qui parfois accompagne le développement, le compositeur utilise le caractère romain bas de casse du même corps que la lettre italique :

xxD  •  Mxx
PVPI ACVTI
IVSTINI
VIRILLIENA
CRESCENTINA
MATER INFELI
xxCISSIMAxx
xxxxFILIOxxx

D(iis) M(anibus) Pupi Acuti(i) Justini ; Virilliena Crescentina,
mater infelicissima, filio.

xxxx Aux Dieux Mânes de Pupus Acutius Justinus, Virilliena Crescentina,
mère très infortunée, à son fils.

25. Selon les auteurs, ou encore suivant les ordres donnés par les éditeurs et les règles en usage dans les diverses maisons, les développements en italique et, le cas échéant, leur traduction se composent rarement sur toute la justification, mais plus fréquemment avec une rentrée, sur le début et la fin des lignes du texte du volume, d’au moins 3 ou 4 cadratins du corps employé.

26. Pour des motifs divers, nombre d’auteurs ne croient pas devoir mettre sous les yeux du lecteur la disposition de l’inscription ; ils se bornent à donner le développement de celle-ci, en indiquant, toutefois, la coupure de chaque ligne, soit par une égalité, soit par un tiret placé dans le sens vertical :

D(iis) M(anibus) || Pupi Acuti(i) || Justini(;) || Virilliena || Crescentina(,) mater infeli || cissima(,) || filio.

27. Ainsi que nous l’avons vu, en raison de motifs divers, nombre d’inscriptions comportent des lacunes : pour effectuer la traduction de l’inscription, les savants se sont ingéniés à restituer, d’après des règles bien déterminées, les mots omis ou disparus. En typographie, ces termes ou ces lettres sont dans le corps de l’inscription composés en lettres italiques bas de casse :

AED QVaeSTORI QVI
INRVPtiONE BAQVA
TIVM COlONIAM TVI
TVS EST tesTIMONIO
DECRETI

aurfaVSTINO • AVGVSTO
rum liberTO • COMMENTARiEN
SI XXXX • GALL • ITEM •

28. Dans le développement des inscriptions restituées, c’est-à-dire au cours de la composition du texte complet, les lettres italiques indiquant les restitutions sont placées entre crochets ([]) :

Aed(ili), qu[ae]stori, qui inrup[ti]one Baquatium co[l]oniam tuitus est ; [tes]timonio decreti
xxxx [Aur(elio) Fa]ustino, Augusto[rum liber]to, commentar[i]ensi quadragetimae Gall(iarum), item

29. Les lettres dont, au cours de l’inscription, l’artisan a omis volontairement la gravure, sont placées entre parenthèses dans le développement :

PVP • PONTIO • T • F • VOl
PROCVLO • AN • XIII

Pup(o) Pontio, T. (Pontii) j(ilio), Vo[l](tinia tribu), Proculo, an(norum) trcdecim…

30. L’ouvrier, avant d’exécuter la gravure, arrangeait le texte suivant la disposition la plus convenable et aussi d’après des règles immuables en ce qui concerne certaines parties de l’inscription. Dans une même ligne le blanc séparatif existant entre chaque mot était dès lors aussi régulier que possible ; mais, si l’on considère l’ensemble d’une ligne par rapport à celui d’une autre ligne, l’espacement est fort dissemblable ; encore, si l’on compare entre elles les différentes fractions de la rédaction, on remarquera que l’espacement était déterminé par le nombre de mots ou de lettres à graver sur une pierre ou sur un objet de grandeur donnée ou déterminée.

31. La coupure des mots dans les inscriptions n’est soumise à aucune règle, et le lecteur rencontre en cette matière les plus étranges bizarreries ; elle a lieu :

a) Dans une syllabe, entre la consonne simple ou double et la voyelle, ou réciproquement :

GENIO • P
OPVLI FE
LICITER

Genio Populi feliciter

xxxxxxxxD • M
M • COSINIO
PRISCO • NFG • SVA
RIO • TVCCIA • PRIMA
VXOR • CVM QVO VI
XIT ANNIS XXXXV

uxor, cum quo vixit

TII ROGO QVI • INFER
NALES • CRATES • TENES • COM
MENDO • TIBI • IVLIA • FAVSTIL
LA • MARII • FILIA • VT • EAM CELE
RIVS • ABDVCAS • ET • IBI • IN • NVM
ERVM • TV • ABIAS

ut eam celerius abducas, et ibi in numerum (mortuorum) tu (h)abeas.

b) Entre les consonnes composant une syllabe :

P • AEL • ANTIPAT
RO • MARCELLO
EQ • R •

… P. Ael(io) Antipatro Marcello…

c) Entre deux voyelles formant diphtongue, aussi bien au début ou à la fin du mot, et même pour une seule voyelle :

xxxxxxxxD • M
AVRELIO • FE
LICI • AVG • LIB
QVI • VIXIT • ANNIS • V
DIEBVS XXXIII
HORIS VIIII • M • AVR
CARICVS • AVG • LIB • FILI
O DVLCISSIMO BENE
xxxxMERENTI FECIT

Caricus, Aug(usti) lib(ertus), filio dulcissimo

d) Elles sont irrégulières dans une même inscription :

P • AEL • ANTIPAT
RO • MARCELLO
EQ • R • DEC • COL • AP
FIL • P • AEL • ANTIPA
TRI • A • MIL •

… P. Ael(io) Antipatro Marcello,… fil(io) P. Ael(ii) Antipatri, a…

32. Le compositeur suit la même règle d’espacement, que le point soit rond (·), triangulaire (), allongé () ou quadrangulaire () ; les points en forme de flèche (), ainsi que les feuilles de lierre (, ) et l’ocellio, sont soumis à une règle analogue :

M AVRELI ANTONINI PII FELICIS AVG
PONT MAX TRIB POT VIII COS III PROCOS
FORTISSIMI

33. Dans les inscriptions courantes, c’est-à-dire ne comportant ni lacunes, ni ratures, ni surcharges, enfin aucun des accidents de gravure auxquels il a été fait allusion précédemment, le mécanisme de la composition ne présente aucune difficulté :

a) La ligne la plus longue est composée au milieu de la justification, espacée convenablement et surtout régulièrement : le typographe devra, à moins de raisons exceptionnelles, utiliser les espaces fortes du corps employé :

CLAVDIAE • ACTES • AVG • L • L AVCTAE

b) Les lignes dont le texte comme importance se rapproche sensiblement de la première ligne composée sont alignées avec elle sur la première et sur la dernière lettre : 1° en forçant le blanc entre chaque mot ; 2° en espaçant chaque lettre des mots de la ligne, si l’espacement exigé obligeait à un blanc qui pourrait paraître exagéré :

CLAVDIAE • ACTES • AVG L • L AVCTAE
TI • CLAVDIVS DEMETRIVS

c) Les lignes de texte moindre que celles dont il est parlé aux paragraphes a et b ci-dessus sont, à leur tour, composées au milieu de la justification en suivant les errements des dispositions précédentes :

DIS MANIBVS
VXORI ET

Les exemples suivants sont des applications caractéristiques de ces règles qui sont générales :

D · M
SER · CORNELIAE · SER · L
SABINAE
SER · CORNELIVS
DOLABELLA
METILLIANUS
NVTRICI ET MAMMVL
B · M · F

DIS MANIIBVS
CLAVDIAE · ACTES · AVG · L · L · AVCTAE
TI · CLAVDIVS DEMETRIVS
VXORI ET
TI · CLAVDIVS EVPLASTVS
CONLIB · OPTIME · DE · SE
MERITAE · FECIT

34. Les inscriptions ne comportent aucune ponctuation ; les points que l’on y remarque sont exclusivement des artifices de gravure « ayant seulement pour objet de rendre plus nette la séparation des mots » entre eux. — Ces points doivent s’aligner avec le milieu, et non avec le pied, de l’œil de la lettre : le typographe utilise le point ordinaire composé le cran en dessus et place, avant et après le signe, la même espace qu’entre chaque mot de la ligne.

35. Ainsi que le montrent les nombreux exemples donnés ici, aucun signe n’indique la coupure du mot : le point ou tout autre signe que l’on rencontre à la fin d’une ligne est seulement le fait d’une erreur du graveur :

Q · LETINIVM
LVPVM · QVI · ET
VOCATVR · CAV ·
CADIO · QVI ·

Q. Letinium Lupum, qui et vocatur Caucadio, qui…

36. De manière générale, les auteurs, lorsqu’ils ne fournissent pas un dessin ou une photogravure, donnent au texte, sur leurs manuscrits, un aspect à peu près indicatif de la disposition à suivre.

a) Alors même que l’auteur l’aurait indiqué d’une manière insuffisante ou aurait commis une erreur, le compositeur doit se souvenir que les invocations aux dieux constituées des lettres :

D • M, Diis Manibus,
D • M • S, Diis Manibus sacrum,
I • O • M, Jovi Optimo Maximo,
D • I • M, Deo Invicto Maximo, etc.,


sont généralement placées en lignes perdues, au milieu de la justification.

b) Toutefois, les expressions de deux lettres se rencontrent parfois gravées en lettres plus importantes que celles du reste de l’inscription, et placées l’une au début ; l’autre à la fin des premières lignes qu’elles encadrent.

Il est aisé de figurer cette disposition à l’aide de lettres de deux points :

D ET QUIETI
AETERNAE
M
LUCILI • METROBI
SIGNO SAPRICI

c) Elles peuvent encore être gravées en dehors de l’inscription, dans la marge, si l’on peut ainsi s’exprimer, une lettre à gauche, l’autre à droite :

xxxxxBENEFICIAR • TETTIENI • SERENI…

D CORNICULAR • CORNELI • GALLICANI… M

STIPENDIS • DOMIT…

Mais dans les développements elles figurent au début de la rédaction :

D(iis) M(anibus) et quieti aeternae Lvcili(i)…
D(iis) M(anibus)… beneficiarivs Tettieni Sereni…, cornicular(ius)…

37. Nombre d’inscriptions comportent des irrégularités de gravure que le typographe doit figurer au cours de la composition. Ces irrégularités peuvent être classées en plusieurs catégories :

a) Elles représentent une abréviation plus ou moins importante et sont placées hors de l’alignement régulier du texte : le compositeur effectue un parangonnage qui place la ou les lettres dans l’interligne ou les fait enjamber sur l’une et l’autre ligne :


D(iis) M(anibud) s(acrum) ; L(ucia) Antestia Saturnina vi(xit)
triginta (annis) ; fili(a)e dul(cis)s(imae) pater
.

b) Le texte principal de l’inscription ayant été rédigé et gravé avec un certain nombre de lacunes volontaires destinées à être comblées ultérieurement, l’emplacement primitivement réservé s’est trouvé insuffisant, et l’ouvrier a terminé son travail en adoptant la disposition qui lui paraissait la plus convenable : les termes nouveaux sont généralement placés dans les interlignes, et comme à cheval sur la ligne, disposition que le typographe reproduit aisément à l’aide de parangonnages :

c) Certaines lettres, telles que I, T, etc., débordent au delà de l’alignement régulier de l’œil des lettres, comme nous l’avons vu antérieurement (§ 11), ou sont renversées :

d) L’inscription présente des lacunes, soit parce que le texte n’a pas été gravé, soit parce que les mots martelés, et non remplacés, sont impossibles à restituer : ces lacunes sont figurées par des points :

Q · POMPEIO · Q · F · QVIR · SENECIONI
......................................
SOSIO · PRISCO · PONTIFICI · SODALI
HADRIANALI.

e) Lorsque la disparition du texte résulte de la brisure de la pierre ou du métal, la lacune est figurée par des barres de fraction, si la restitution ne peut être opérée :

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / /  VS
PA · PI · RI · A · A · V · F
I · DI · A · NVS

f) Certains textes ont été martelés et remplacés par des rédactions différentes ; mais, par comparaison avec d’autres inscriptions, le texte primitif a pu être restitué intégralement, et il importe de donner les deux versions. M. Cagnat indique, en exemple, de la manière suivante, les mots existants :
alors qu’il reproduit sans annotation particulière les termes de l’inscription primitive :

M AVRELI ANTONINI PII FELICIS AVG
PONT MAX TRIB POT VIII COS III PROCOS
FORTISSIMI FELICISSIMIQ PRINCIPIS P P
ET L SEPTIMI GETAE NOBILISSIMI
CAES RESP ·

38. Lorsque le métal ou l’objet sur lequel l’inscription était gravée ne comporte plus que le début du texte, les auteurs indiquent la brisure par une ligne verticale, séparant les termes conservés de ceux restitués :

Les auteurs utilisent un artifice analogue si les termes conservés sont ceux de la fin des lignes, ceux-ci étant toujours composés en capitales, et les mots restitués en italique bas de casse.

39. Si la brisure est de grande importance et d’une irrégularité telle qu’il est impossible d’utiliser le trait vertical — par exemple dans le cas d’une gravure mutilée dont un bon nombre de fragments ont pu être retrouvés et reconstitués — l’auteur fournit un zinc ou un dessin.

40. Souvent le martelage de la gravure a été imparfait : la lettre primitive apparaît suffisamment et n’a d’ailleurs été remplacée par aucune autre. Le typographe doit, à l’aide du canif ou en érodant légèrement l’oeil des lettres nécessaires, figurer l’écrasement ou l’effacement de l’inscription.

41. Afin de distinguer les lettres destinées à indiquer des chiffres et les lettres employées avec leur valeur vocale, le graveur surmontait les premières d’une barre horizontale qui s’étendait depuis le premier jambage de la première lettre jusqu’à l’ultime jambage de la dernière :

MARTI
VICTORI
AVG · SAC
M · VLPIVS · M
F · PAP · ANDRO
NICVS · Q · AED
VIR · FLAM
VIR  PE
CVNIA SVA
POSVit

aedilis, duumvir, flam(en), duumvir q(uin)q(uennalis)

42. Un filet horizontal placé entre la première et la deuxième ligne de l’inscription peut être : a) un artifice de graveur ; b) l’indication que sur le monument la ligne soulignée est assez distante de celles qui suivent ; c) ou encore le moyen de rappeler aux yeux et à l’esprit du lecteur le nom particulier sous lequel était connu le personnage auquel le monument est élevé (ce nom est d’ailleurs gravé au génitif ou au datif) :

TATIANI

C · IVLIO RVFINIANO
ABLAVIO
FL · ARPACII · VC ·

FL · ARPACIO · FL PP · HVIVSCE
CIVITATIS

43. Lorsque le graveur a commis une erreur évidente, soit orthographique, soit rédactionnelle, la reproduction peut comporter cette même erreur ; mais le mot sic, composé en italique bas de casse et placé entre parenthèses, prévient le lecteur que la faute existe sur l’inscription :

MAVORTII
Q · FLAVIO · MAESIO · EGNATIO
COMITI
FLAVIALI COMITI ORIENTIS COMITIS PRIMI (sic)
ORDINIS

comiti Orientis, comiti primi ordinis

Les auteurs ne s’accordent pas sur la place à donner au mot sic : les uns le figurent dans la marge, comme ci-dessus ; les autres le placent immédiatement après le terme fautif.

44. Une disposition légèrement différente peut être rapprochée de la précédente : le nom du personnage est encadré d’un filet :

  TIB · CL · CANDIDO CoS  


XVVIR · S · F · LEG · AVGG
PR · PR ·

45. Dans les mises en pages, il n’est, pas permis de couper les inscriptions, c’est-à-dire de reporter en tête d’une page la fin d’une inscription dont le début figure à la page précédente.

46. Il n’est pas convenable non plus, une inscription finissant en pied de page, de reporter en tête de la page suivante le développement ; il est bon de l’amorcer par au moins une ligne de texte placée dans la même page que l’inscription.

47. La traduction d’un développement doit également, autant qu’il est possible, être amorcée, au moins par une ligne, dans la page.

48. Il n’est pas permis, lorsque l’inscription est annoncée par sa référence, composée en caractère du texte et placée en ligne isolée ou en alinéa et suivie d’un deux points, de mettre cette référence en pied de page et de rejeter l’inscription en tête, de la page suivante.

49. Le compositeur n’oubliera point que les dispositions les plus inattendues et les termes les plus bizarres peuvent se rencontrer dans les inscriptions qu’il aura à reproduire[1] :


Uratur Suc(c)es(s)a, aduratur am[or(e)] ve[l] desideri(o) Suc(c)es(s)i.

Si le typographe est très au courant des choses de son art, et s’il veut bien consacrer intelligemment quelques instants à l’étude du manuscrit qui lui est confié, il n’est pas douteux qu’il puisse surmonter les difficultés que le texte pourrait comporter.



  1. Toutes les inscriptions dont le texte a été rapporté ici sont empruntées au Corpus Inscriptionum latinarum ; elles ont été reproduites avec leurs dispositions particulières. — Les références ont été omises, afin de ne pas allonger le texte outre mesure.