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Les Veillées des maisons de prostitution et des prostituées/7

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SIXIÈME TABLEAU

Ah ! j’y suis !

Ce Tableau est la contre-partie de celui que nous venons de voir, quoique ce soit encore d’un célibataire qu’il s’agisse, mais celui-ci est encore vert, parce qu’il a su ménager ses feux dans sa jeunesse ; et c’est un gaillard qui, malgré plus de la cinquantaine, ne reculerait pas encore devant la prise d’un pucelage. Comme c’est un homme fort prudent et qui sait qu’une fois qu’on a manié les fesses de sa servante on n’est plus maître chez soi, il n’a pas voulu se donner de joug, et ne prend à son service que des femmes hors d’âge de lui donner l’envie de succomber en tentation.

Mais, allez-vous me dire, quelle est donc cette jeune fille in naturalibus étendue là sur le pied du lit et tournant le dos à l’ennemi ?

Cette jeune fille, mesdemoiselles, est la nièce du monsieur que vous voyez. En bon oncle il a voulu se charger de son éducation, et la leçon représentée ici, est au moins la vingtième de ce genre qu’il lui donne, et plus il l’instruit, plus la petite garce se montre désireuse d’apprendre : aussi est-ce chaque fois une nouvelle position que le paillard fait prendre à sa docile écolière. La manière de foutre, qui les occupe en ce moment, est celle que l’on nomme communément foutre en levrette, et c’est une posture des plus commodes, en ce qu’elle favorise beaucoup le vit, qui peut s’y employer, ainsi dans toute sa longueur, qu’il y est enfoncé jusqu’aux couilles. On a quelquefois un peu de peine à trouver l’ouverture, parce que fort souvent on glisse sur le clitoris au lieu d’entrer droit dans le vagin, qui se trouve un peu plus bas. Pour éviter cet inconvénient, c’est à l’homme à passer une main devant les cuisses de la femme pour entr’ouvrir par devant la route des plaisirs, tandis que de l’autre main il guide son vit par derrière et le place juste à l’embouchure ; c’est ce qu’a fait notre gaillard, qui s’est écrié avec satisfaction : Ah ! j’y suis ! Voyez comme à présent ses deux mains sont placées sur les deux tétons de la petite, dont ils chatouillent les extrémités, tandis que son vigoureux braquement travaille l’intérieur du conin de sa petite personne, qui remue les fesses avec une vitesse incroyable. C’est bientôt de la part de nos deux personnages un chorus d’exclamations : Ah ! mon bon… oncle. — Ma pe… ti…, te nièce ! — Ah ! ah… quel plaisir !… je meurs… attends… attends… dé… chargeons,… en… semble… ah ! ah !…

Et bientôt, sans égard pour la parenté, le foutre de l’oncle et celui de la nièce se mêlent, en les plongeant tous deux dans l’extase la plus complète.