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Livre:Marcellin Pellet - Élysée Loustallot et les Révolutions de Paris, 1872.djvu

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TitreÉlysée Loustallot et les Révolutions de Paris Voir l'entité sur Wikidata
Sous-titre(Juillet 1789-Septembre 1790)
AuteurÉlysée Loustallot Voir l'entité sur Wikidata, Marcellin Pellet Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionArmand le Chevalier
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1872
BibliothèqueOxford -> Internet Archive(g)
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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.


Prudhomme et Loustallot.
Un mot sur la presse avant la Révolution. — La presse politique et le réveil de 1789. — L’éditeur Prudhomme fonde les Révolution de Paris « dédiées à la Nation et au district des Petits-Augustins. » — Il cherche à s’adjoindre de jeunes collaborateurs. — Élysée Loustallot. — Sa famille, ses débuts au barreau de Bordeaux. — Il est frappé d’une suspension de six mois. — Il arrive à Paris. — Prudhomme le remarque et en fait son principal rédacteur. — Introduction aux Révolution de Paris 
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Juillet-Août 1789. (nos I-VIII.)
I. Prise de la Bastille ; appel à tous les citoyens. Rentrée du roi à Paris. — II. Conseils au peuple. Meurtre de Berthier et de Foulon. Réflexions sur ces exécutions sommaires. — III. Terreurs paniques. Crainte de la famine. Retour triomphal de Necker. — IV. Revendication des droits de l’écrivain et de la liberté de la presse. Faux bruits semés par les royalistes. Éloquent appel à la concorde. — V. Armement de la population parisienne. Exploits cynégétiques qui signalent l’abolition du droit de chasse et des capitaineries. Adresse du roi au peuple français. — VI. Loustallot cherche à excuser les premiers excès du peuple, qui n’a pas encore les mœurs de la liberté. Défense de Beaumarchais injustement attaqué par Gorsas. Les ateliers nationaux de Montmartre. Le problème des subsistances. — VII. La famine. Accaparements de pain. Mauvaise organisation et tyrannie des districts. Élections des officiers de la garde nationale. Expulsion des Savoyards. — VIII. Dangers que court la liberté. — Éloquente déclaration de principes de Loustallot. Émotion populaire à Paris. La discussion du veto 
 13
Septembre-Octobre 1789. (nos IX-XVI.)
IX. Organisation des districts, de la police, de la justice. Défense de la France libre de Camille Desmoulins. Éloge du jury. — X. Éloquente réponse aux accusations du comité de police. Attitude des puissances étrangères. Loustallot ranime la confiance ébranlée par des bruits de coalition ; il combat le découragement des patriotes. — XI. Il faut fonder la liberté d’une manière durable, et le concours d’une presse libre est indispensable. Théorie de la liberté. Un mot sur le mandat impératif. — XII. Tentatives de corruption. Lettre de M. de Saint-Priest pour flatter la garde nationale. Le pouvoir législatif et le pouvoir constituant. — XIII. Journées des 5 et 6 octobre. Rentrée de Louis XVI et de sa femme à Paris. Allocution à Marie-Antoinette. — XIV. Il faut rechercher les conspirateurs royalistes, quels que soient leur nombre et leur rang. Le peuple n’a pas le droit de se faire justice lui-même. Défense de Marat. — XV. L’Assemblée à Paris. Inviolabilité des représentants. La municipalité crée un corps de chasseurs et veut en nommer les officiers. Protestation des patriotes. Exhortations aux bons citoyens. — XVI. Explication et défense de la loi martiale. L’émancipation des noirs dans les colonies 
 45
Novembre-Décembre 1789. (nos XVII XXV.)
XVII. Il faut refaire les mœurs de la nation et réorganiser les municipalités par le suffrage universel. Le décret du marc d’argent. Spirituelle satire qu’en fait Loustallot. — XVIII. Protestation contre les tendances despotiques de la municipalité parisienne. Réponse à Brissot à propos des écrits incendiaires. — XIX. Les bons citoyens ne doivent pas s’endormir sur leurs lauriers ; il faut veiller, car les aristocrates conspirent. Résistances de la noblesse. Prophétie de Loustallot. — XX. Les provinces, malgré les agissements de la noblesse, se rallient toutes à la cause révolutionnaire. — XXI. Mauvaise loi électorale. Encore le marc d’argent. Appel au roi. Appel aux députés du tiers état. — XXII. Manœuvres aristocratiques. Propagande royaliste. Pamphlets et libelles diffamatoires contre tous les patriotes. — XXIII. État des finances. Compromis de Necker avec la Caisse d’escompte, transformée en Caisse nationale. Critique de cette mesure. — XXIV. Principes de législation. Guerre aux préjugés. Plaidoyer contre la peine de mort. — XXV. Nouvelle conjuration royaliste. Arrestation de Favras. Discours de Monsieur, frère du roi, pour se disculper 
 79
Janvier-Février 1790. (nos XXVI-XXXIV.)
XXVI. Affaire de Bésenval. Réponse au mémoire de Desèze en sa faveur. Le droit de poursuite en matière de crimes de lèse-nation appartient à tout citoyen. — XXVII. Il faut sévir contre les conspirateurs royalistes. Insurrections provoquées par la cour. Décret contre le parlement de Rennes. — XXVIII. Conseils aux électeurs des municipalités. — XXIX. A propos de Marat. De la liberté de la presse. — XXX. Le peuple ne doit pas s’attacher aux hommes, mais aux principes. Point d’idoles ! La liberté de la défense et le procès de Favras. — XXXI. Le serment civique. Dialogue entre un impartial et un patriote. Exécution des frères Agasse. — XXXII. Fêtes nationales. C’est toujours le peuple qui paye. Suppression des ordres religieux. Motions de l’abbé Fauchet à propos de La Fayette et de Bailly. — XXXIII. L’Assemblée et le peuple ; adresse des représentants à la Nation. — XXXIV. Plan d’organisation de la Commune de Paris. Les pensions du Livre-Rouge. Officiers de marine et valets de chambre 
 115
Mars-Avril 1790. (nos XXXV-XLII.)
XXXV. Mort de Joseph II. Politique extérieure. — XXXVI. Attaques des royalistes contre Loustallot. Sa répugnance à se mettre en cause. Le parti de la cour essaye de soulever les provinces. Bournissac prévôt da Marseille. Élections des assemblées départementales. — XXXVII. Le comité de Constitution et la question du jury. — XXXVIII. Propagande aristocratique. Innocuité des libelles royalistes. Les ministres. Virulente critique de Necker. — XXXIX. Le Livre-Rouge. Coup d’œil sur les hontes de la monarchie. La curée. Les frères du roi. Le duc de Polignac. Le cas des frères Lameth. Heureux effet de la publication du Livre-Rouga. — XL. Nouveaux complots royalistes. Un discours de Burke. Encore le « ministre adoré. » — XLI. Principes d’économie politique. Les assignats et le mémoire de Bergasse. — XLII. Les maréchaux de France et le cumul des traitements. Paoli à Paris. L’affaire de Suleau. Un fragment des Actes des Apôtres 
 155
Mai-Juin 1790. (nos XLIII-LI.)
XLIII. Progrès accomplis depuis six mois. Nécessité de faire une constitution et de convoquer ensuite une nouvelle assemblée. — XLIV. Les patriotes de Marseille poursuivis. Réponse de Marie-Antoinette à la commission d’enquête sur le 6 octobre. Justes observations de Loustallot. Quelques lignes de critique théâtrale. — XLV. Le droit de guerre et de paix. — XLVI. Critique du décret du 22 juin 1790. Loustallot condamne la justice sommaire du peuple. — XLVII. Revue de la garde nationale. Le roi quitte Paris. Mémoire de Necker. — XLVIII. La curée. Liste civile du roi et douaire de sa femme. — XLIX. Divisions dans le parti patriote. Menaces contre la presse. Magnifique page de Loustallot. Avertissement à Mirabeau. Appel à tous les journalistes patriotes. Réponse de Camille Desmoulins. — L. Les vainqueurs de la Bastille et les apprêts de la Fédération. Décret du 19 juin en faveur des héros de la Bastille. Colère des royalistes. — LI. Bruits ridicules à propos de la fête du 14 juillet 
 195
Juillet-Août 1790. (nos LII-LX.)
LII. Arrivée des délégués provinciaux. Loustallot leur dédie ce numéro, résumé de sa politique. Un mot sur la liberté de la presse. — LIII. La Fédération. Réflexions sur la fête du 14 juillet. — LIV. Attitude du peuple. Honneurs exagérés rendus à La Fayette. La liberté de la presse. Une brochure thermidorienne. « Dialogue des morts entre l’abbé Royou et Loustallot. » — LV. État de l’Europe. Bruits de guerre. — LVL Malouet dénonce Marat et Camille Desmoulins. Ordre du jour du général en chef de la garde nationale. La Fayette démasqué. — LVII. L’enquête sur le 6 octobre. Il faut remonter jusqu’aux véritables coupables, jusqu’à la reine et ses amis. Duel de Barnave et de Cazalès. Loustallot blâme Barnave. Épigramme des Actes des Apôtres. — LVIII. Effervescence dans l’armée. Conseils aux soldats patriotes. — LIX. La politique extérieure. Le Pacte de famille. Camille Desmoulins refuse un cartel. — LX. Le massacre de Nancy. Dernier article de Loustallot 
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Septembre 1790.
Mort de Loustallot (19 septembre 1790). Piété fraternelle de Constantini, député de la Corse. L’ensevelissement. Discours de Legendre sur la fosse. Regrets universels causés par cette fin prématurée. Oraison funèbre prononcée par Camille Desmoulins à la société des « Amis de la Constitution. » Articles de Fréron dans l’Orateur du peuple ; de Brissot dans le Patriote français ; de Marat dans l’Ami du Peuple. — Déclarations hypocrites de Prudhomme. Réponse indignée de Camille. — Une lettre de Laharpe. — Pamphlet royaliste insultant à la mémoire d’Élysée Loustallot. — Conclusion 
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