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Livre:Ollivier - L’Empire libéral, tome 17.djvu

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TitreL’Empire libéral, études, récits, souvenirs
VolumeTome dix-septième : La fin
AuteurÉmile Ollivier Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionGarnier Frères
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1915
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Gallica
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Série 1 ,  2 ,  3 ,  4 ,  5 ,  6 ,  7 ,  8 ,  9 ,  10 ,  11 ,  12 ,  13 ,  14 ,  15 ,  16 ,  17  (avec Table générale)

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TABLE DES MATIÈRES


TOME XVII
CHAPITRE PREMIER
BAZAINE GÉNÉRAL EN CHEF : BORNY
Pages.
§ 1. — Rapports d’Émile Ollivier et de Bazaine 
 1
§ 2. — Difficultés de la tâche de Bazaine. — Le chef d’état-major Jarras 
 6
§ 3. — Subordination de Bazaine à l’Empereur 
 10
§ 4. — Bazaine décide de faire passer le plus vite possible l’armée sur la rive gauche de la Moselle. — Une crue du fleuve le retarde 
 16
§ 5. — Le 14 août au matin Frossard et Ladmirault commencent la retraite. Encombrement des bagages. La division Ladmirault qui est à la queue entend le canon derrière elle et s’arrête 
 22
§ 6. — Moltke ordonne à Steinmetz de rester immobile. — Mais Goltz voyant nos premiers mouvements de retraite se lance sur nous 
 24
§ 7. — Le général de Berckheim ordonne à ses hommes de répondre à Goltz. — Le 3e corps d’armée qui s’ébranlait se retourne malgré les efforts de Bazaine. Ladmirault lance le 4e corps. — Bataille de Borny 
 28
§ 8. — Cette bataille est un succès, mais son résultat est funeste, parce qu’elle retarde la marche sur Verdun 
 32
§ 9. — L’Empereur se sépare de l’armée de Metz (14 août). — Il apprend à Longeville la bataille de Borny 
 36
§ 10. — Bazaine fait reprendre la marche sur Verdun. — Il indique au corps de Ladmirault la route de Lorry 
 41
§ 11. — Marche de l’armée. — Désobéissance de certains généraux 
 43
§ 12. — Mauvaise reconnaissance de la cavalerie. — Disposition défectueuse de marche de Ladmirault. — Ses grands retards 
 48
§ 13. — L’Empereur se décide à partir pour Verdun et Châlons 
 56
§ 14. — Départ de l’Empereur. — Satisfaction de l’État-major. — Bazaine le regrette 
 59
§ 15. — Hésitation du commandement dans l’armée allemande. — Alvensleben prend le parti d’aller de l’avant et de nous poursuivre. — Nous commençons par être mis en débandade. Nous nous ressaisissons. — Alvensleben décide d’engager la bataille 
 62
CHAPITRE II
BATAILLE DE REZONVILLE
§ 1. — Description du terrain. — Notre position est formidable. — Nous sommes supérieurs aussi par le nombre. — La supériorité de l’artillerie allemande et surtout la manière dont les Allemands s’en servent leur donne l’avantage. — Bazaine prête toute son attention à sa gauche. — Il compte pour sa droite sur le corps de Ladmirault. — Disparition momentanée de Bazaine 
 69
§ 2. — Faiblesse de notre gauche. — Bazaine la soutient par son énergie 
 82
§ 3. — La situation d’Alvensleben devient critique. — Charge de Brédow. — Débâcle inexplicable de notre artillerie. — Ladmirault n’arrive pas 
 84
§ 4. — Organisation défectueuse de la marche de Ladmirault. — Il perd beaucoup de temps en route. Il n’est à Doncourt qu’à midi. — Enfin il arrive. — Le Bœuf lui explique qu’il doit tourner la gauche allemande. — Il hésite. — Attaque du Ravin de la Cuve par la division Grenier. — Elle réussit. — L’artillerie prussienne va être fauchée, Alvensleben est aux abois. — Ladmirault arrête notre offensive. — Douleur de nos troupes, joie d’Alvensleben. — Il est secondé par Voigts-Rhetz et secouru par Frédéric-Charles 
 89
§ 5. — Arrivée de Cissey. — Deux régiments allemands sont anéantis au Ravin de la Cuve. — Ladmirault empêche de poursuivre la victoire et laisse échapper l’occasion d’écraser la gauche allemande 
 101
§ 6. — Les Allemands reprennent quelques avantages. — Nous luttons héroïquement, mais l’inertie de Ladmirault nous paralyse 
 109
§ 7. — Fin de la bataille 
 113
§ 8. — Cette bataille devrait être appelée celle d’Alvensleben. — Admirable conduite de ce chef. — Belle conduite de nos officiers supérieurs. — Bazaine ne se montre pas inférieur. — Son malheur est d’avoir été mal obéi 
 115
CHAPITRE III
LA RECULADE VERS METZ
§ 1. — Bazaine a l’intention ferme de continuer sa route sur Verdun. — Les renseignements qu’il reçoit sur nos manques de munitions et d’approvisionnements l’incitent à retarder. — Il décide de reculer sur Metz 
 124
§ 2. — Précipitation de Bazaine à prendre cette résolution. — Les renseignements qui l’avaient motivée étaient erronés 
 131
§ 3. — Bazaine a reconnu plus tard que les motifs de sa conduite étaient des considérations tirées de la grande politique de la guerre 
 139
§ 4. — Dissémination des troupes allemandes ; leur épuisement. — Que pouvait faire Bazaine ? — Il ne pouvait se diriger sur Châlons ni par Verdun ni par Briey 
 143
§ 5. — Bazaine aurait-il pu passer par la rive droite ? — Il pouvait refouler l’ennemi sur Gorze et la Moselle et franchir par là ses lignes 
 153
§ 6. — L’armée se retire sur les lignes d’Amanvillers 
 159
CHAPITRE IV
LA BATAILLE DE GRAVELOTTE. — SAINT-PRIVAT
§ 1. — Description du terrain de Gravelotte Saint-Privat. — Manière dont Bazaine y dispose l’armée. — Faiblesse de notre droite 
 161
§ 2. — Importance de la position de Saint-Privat. — C’est là qu’on devait porter la Garde. — De son quartier général de Plappeville, Bazaine ne peut voir ce qui se passe sur ce point 
 166
§ 3. — Nouvelle alarme de Bazaine sur des rapports disant que nous manquons de munitions. — Il y pourvoit. — Son plan de bataille 
 170
§ 4. — Dispositions des Allemands. — Deux batailles, celle de Saint-Privat et celle du Point-du-Jour 
 176
§ 5. — Bazaine ne croit pas à une grande bataille. — Ladmirault fait reculer Manstein 
 182
§ 6. — Position précaire de Canrobert. — Belle conduite de Cissey. — La Garde prussienne attaque la position de Saint-Privat. — Elle est fauchée par les troupes de Canrobert. — Notre victoire serait complète si la Garde Impériale venait au secours de Canrobert 
 187
§ 7. — Éparpillement de notre Garde. — Bourbaki, avec ce qui lui reste de troupes, ne veut se lancer au secours de Canrobert que sur des ordres formels 
 196
§ 8. — Les Allemands sont secourus par le prince de Saxe, Canrobert succombe après une résistance épique 
 201
§ 9. — Imprudence de Steinmetz au ravin de la Mance. — Les Allemands sont mis en déroute par Le Bœuf, Frossard et Lapasset 
 205
§ 10. — Nouvel en avant allemand. — Nous les mettons en fuite. — Leur panique. — Angoisse du roi Guillaume. — Moltke le rassure. — L’offensive française est arrêtée. — Les Allemands restent maitres du champ de bataille 
 209
§ 11. — Le rôle de Bazaine dans cette bataille 
 216
§ 12. — Retraite de Canrobert 
 225
§ 13. — Différence entre la manière de combattre des deux armées 
 227
§ 14. — Épilogue de la bataille 
 233
§ 15. — Le roi Guillaume. — Préparation de l’investissement 
 236
CHAPITRE V
JUGEMENT SUR BAZAINE 
 240
CHAPITRE VI
LE SECOND ACTE DU SUICIDE. — LA DÉPOSITION DE L’EMPEREUR
§ 1. — Le camp de Châlons. — Indicipline des mobiles. — L’Empereur d’accord avec Mac-Mahon, Trochu, Schmitz et le prince Napoléon, décide d’aller à Paris. —Trochu est envoyé en avant 
 257
§ 2. — L’Empereur veut consulter la Régente. — L’Impératrice s’oppose au retour de l’Empereur à Paris 
 264
§ 3. — Colère légitime de Trochu. —L’Impératrice réitère son opposition appuyée par Palikao 
 269
§ 4. — Arrivée de Trochu à Paris. — Accueil que lui fait l’Impératrice. — Le général Schmitz lui démontre la folie de la marche vers Bazaine. — Proclamations de Trochu 
 274
§ 5. — Pourquoi l’Impératrice s’opposait au retour de l’Empereur. — Fidélité de la population de Paris 
 280
§ 6. — Les terreurs de la Régence n’étaient pas justifiées. — Manifestations de sympathie du peuple de Paris. — L’Empereur est déposé de son gouvernement 
 285
§ 7. — La cour voudrait que l’Empereur disparût. — Il cède aux volontés de la Régence 
 289
§ 8. — L’Empereur envoie le prince Napoléon en mission en Italie 
 293
CHAPITRE VII
LE SUICIDE DE L’ARMÉE
§ 1. — Travaux du ministère Palikao pour la défense de Paris facilités par les préparatifs du ministère Ollivier 
 297
§ 2. — Folie du renoncement à se défendre sous Paris 
 300
§ 3. — Conditions défavorables de l’armée de Mac-Mahon 
 305
§ 4. — Présomption de Palikao 
 309
§ 5. — Le plan de Palikao 
 313
CHAPITRE VIII
LES TOURMENTS DE MAC-MAHON
§ 1. — Répugnance de Mac-Mahon à exécuter le plan de Palikao 
 320
§ 2. — Mac-Mahon se décide à marcher sur Paris. — Visite de Rouher à l’Empereur. — Il se rend aux résolutions de Mac-Mahon. — Opposition de la Régence. —Tergiversations de Mac-Mahon 
 324
§ 3. — Revirement incompréhensible de Mac-Mahon 
 331
§ 4. — La dépêche de Stoffel 
 335
§ 5. — Marche lamentable de l’armée de Mac-Mahon 
 338
§ 6. — Mac-Mahon croit rencontrer Bazaine vers Montmédy 
 343
§ 7. — L’armée allemande apprend par des indiscrétions de journaux la marche de Mac-Mahon 
 345
§ 8. — Les reconnaissances allemandes confirment les révélations des journaux 
 350
§ 9. — Description de l’armée de Mac-Mahon 
 352
§ 10. — Mac-Mahon hésite une dernière fois au Chêne Populeux et décide d’aller à Paris 
 356
§ 11. — Fureur de Palikao. Il enjoint à l’Empereur et à Mac-Mahon de continuer vers Metz 
 359
§ — 12. Les conséquences terribles de cette décision apparaissent à tous les yeux 
 362
CHAPITRE IX
LA RÉVOLUTION A PARIS
§ 1. — Habileté de l’opposition ; elle enguirlande le ministère et obtient tout ce qu’elle veut 
 370
§ 2. — Les ministres prétendent avoir eu tout à faire pour la préparation de la défense ; leur accusation retombe sur l’Empereur 
 375
§ 3. — Effet de la nomination de Trochu et de sa proclamation 
 378
§ 4. — Trochu, lui aussi, défend la France sans se soucier de la dynastie. — Son pessimisme, ses accointances avec la gauche. — Le ministère n’ose ni se servir de lui ni le briser. — Inquiétudes qu’inspire Trochu 
 386
§ 5. — Indépendance de Trochu. — « Je suis Breton, catholique et soldat » 
 391
§ 6. — L’effarement aux Tuileries et au ministère. — Manœuvre lente de l’opposition. — Succès de cette manœuvre 
 394
§ 7. — L’opposition commence à jeter le masque ; concours très efficace que lui donne Thiers ; elle pousse à la marche de Mac-Mahon vers Bazaine en voyant ses dangers 
 399
§ 8. — Proposition Kératry. — Nouvel effort de la gauche pour envoyer Mac-Mahon à Sedan 
 404
§ 9. — La proposition de Kératry est soutenue par Jules Favre. — Insolences de la gauche ; Thiers empêche la Chambre de suivre les conseils d’union de Buffet. Il est nommé au comité de défense. Les députés irréconciliables craignent que Palikao ne songe à un coup d’État. — Palikao s’en défend. Sa mesure maladroite envers Trochu 
 407
§ 10. — La gauche devient de plus en plus maîtresse du terrain. — On demande ouvertement la Révolution. — Velléités de répression de Duvernois. — Il n’est pas suivi. — Condescendance déplorable de Trochu 
 415
§ 11. — Habileté de Thiers à préparer le coup. Il déblatère contre la marche de Mac-Mahon qu’il aurait pu empêcher. — Son rôle au conseil de défense. — On apprend le désastre de Sedan. — Accueil que J. Simon, J. Favre, J. Ferry font à la nouvelle 
 423
CHAPITRE X
LES DERNIÈRES CONVULSIONS
§ 1. — Implacabilité de la haine révolutionnaire 
 428
§ 2. — Impéritie du gouvernement de la Régence 
 435
§ 3. — L’Impératrice invoque le secours de Trochu et celui de Thiers. — Les députés de la gauche veulent que la déchéance soit prononcée par la Chambre elle-même et non par la Révolution. — Schneider les seconde. — Une séance de nuit est organisée 
 441
§ 4. — La foule envahit les abords du Palais Bourbon. — Gambetta s’efforce de la contenir. — Jules Favre propose la déchéance. — Pinard seul proteste. — Les ministres vont se coucher. — Ils estiment toute résistance impossible. — Les révolutionnaires veillent 
 452
§ 5. — Trochu propose à l’Impératrice de se retire à l’Élysée. — Soumain prend quelques dispositions de défense insuffisantes. — Tout est fait « très en l’air » 
 460
§ 6. — Déchéance de l’Empire acceptée virtuellement par la Chambre 
 466
§ 7. — Les partis ne diffèrent que sur la formule de déchéance 
 469
§ 8. — Le gouvernement et l’opposition se mettent d’accord 
 475
§ 9. — Démarche de Buffet auprès de l’Impératrice 
 479
§ 10. — Envahissement de la Chambre par la foule. — Jules Favre, Gambetta partent pour l’Hôtel de ville 
 482
§ 11. — Trochu requis par le général Lebreton s’efforce d’aller dégager la Chambre. — Il apprend en chemin que l’Impératrice est partie 
 493
§ 12. — L’Impératrice décide de partir 
 497
§ 13. — Départ de l’Impératrice 
 502
§ 14. — Départ de la princesse Clotilde 
 506
§ 15. — Les Tuileries prises par la Révolution 
 508
CHAPITRE XI
LE 4 SEPTEMBRE — SUITES
§ 1. — Les députés de Paris se décrètent Gouvernement de la Défense Nationale. — Trochu s’y rallie et obtient d’en être le président. — Jugement sur la conduite de Trochu 
 512
§ 2. — Dernières démonstrations du Corps législatif. — Déception de Grévy 
 520
§ 3. — Gambetta et Ernest Picard briguent le ministère de l’Intérieur 
 524
§ 4. — Glais-Bizoin ferme le Corps législatif. — Les députés se réunissent encore à la Présidence. — Thiers se démasque 
 527
§ 5. — La fin du Sénat. — Le rôle de Rouber. — Gambetta obtient le Ministère de l’Intérieur. — Picard prend les Finances. — Jules Simon l’Instruction publique 
 533
§ 6. — Calme joyeux de la population : elle croit que la République lui donnera la victoire. — Jugement sur le Corps législatif de l’Empire 
 538
§ 7. — La révolution débute avec douceur, mais les passions révolutionnaires vont l’entraîner dans la violence 
 542
§ 8. — Aventures du maréchal Vaillant, de Zangiacomi, etc. — Publications des petits papiers des Tuileries 
 546
§ 9. — Défections et ralliements. — Lettre de Pasteur 
 550
§ 10. — Joie des Allemands à l’annonce du 4 septembre. — Propos du prince Frédéric-Charles au cardinal Antonelli 
 552
§ 11. — Thiers se fait payer un voyage en Europe 
 554
§ 12. — Émile Ollivier va en Italie essayer de susciter un secours à la France. — Rencontre du prince Napoléon. — Correspondance avec l’Empereur. — Lettre au roi de Prusse 
 558
§ 13. — Jugement sur le 4 septembre 
 565
ÉCLAIRCISSEMENTS
§ 1. — Notre artillerie en 1870 jugée par Hohenlohe 
 570
§ 2. — Lettre du général Langlois à Émile Ollivier 
 570
§ 3. — Lettre du général baron Berge à Émile Ollivier 
 573
§ 4. — La marche de Mac-Mahon vers Bazaine jugée par le général Legros 
 575
§ 5. — L’Empereur pouvait-il traiter après Sedan ? 
 580
§ 6. — La princesse Clotilde 
 582
§ 7. — Lettre du maréchal Vaillant à M. Delacharme 
 586
§ 8. — La liberté a-t-elle perdu l’Empire ? 
 587
§ 9. — Lettre d’Émile Ollivier à Fernand Giraudeau qui avait attaqué le ministère libéral 
 590
§ 10. — Demandes de garantie. — Récit de Dugué de la Fauconnerie 
 592
§ 11. — Lettres d’Émile Ollivier en Italie 
 595
§ 12. — Le général Ladmirault à la bataille de Rezonville 
 602



Paris, Typ, Ph, Rëwouari*. 19, rue des SainU’^ères. 54807.

Table générale et analytique