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Livre:Rilke - Sämtliche werke zweiter band (extrait poèmes composés en français), 1963.djvu

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TitreSämtliche werke zweiter band (extrait poèmes composés en français)
AuteurRainer Maria Rilke Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurErnst Zinn
Maison d’éditionInsel-Verlag
Lieu d’éditionFrankfurt am Main
Année d’édition1963
BibliothèqueInternet Archive
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  • VERGERS
Liste poèmes
  • 1. Ce soir mon cœur fait chanter / 517
  • 2. Lampe du soir, ma calme confidente / 517
  • 3. Reste tranquille, si soudain / 517
  • 4. Combien a-t-on fait aux fleurs / 518
  • 5. Tout se passe à peu près comme 518
  • 6. Nul ne sait, combien ce qu’il refuse / 519
  • 7. Paume : Paume, doux lit froissé / 519
  • 8. Notre avant-dernier mot / 520
  • 9. Si l’on chante un dieu / 520
  • 10. C’est le Centaure qui a raison / 520
  • 11. Corne d’Abondance : Ô belle corne, d’où / 621
  • 12. Comme un verre de Venise / 522
  • 13. Fragment d’Ivoire Paris / 522
  • 14. La Passante d’Été / 523
  • 15. Sur le soupir de l’ami / 523
  • 16. Petit Ange en porcelaine 523
  • 17. Qui vient finir le temple de l’Amour ? / 524
  • 18. Eau qui se presse, qui court —, eau oublieuse / 524
  • 19. Éros I-IV / 525
    • I. Ô toi, centre du jeu / 525
    • II. Ô faisons tout pour cacher son visage / 525
    • III. La, sous la treille, parmi le feuillage / 526
    • IV. Ce n’est pas la justice qui tient la balance précise / 526
  • 20. Que le dieu se contente de nous / 527
  • 21. Dans la multiple rencontre / 527
  • 22. Les Anges, sont-ils devenus discrets ! / 528
  • 23. Combien le pape au fond de son faste / 528
  • 24. C’est qu’il nous faut consentir / 529
  • 25. On a si bien oublié / 529
  • 26. La Fontaine : Je ne veux qu’une seule leçon, c’est la tienne / 530
  • 27. Qu’il est doux parfois d’être de ton avis / 530
  • 28. La Déesse : Au midi vide qui dort / 531
  • 29. Verger I-VII / 531
    • I. Peut-être que si j’ai osé t’écrire / 531
    • II. Vers quel soleil gravitent / 532
    • III. Jamais la terre n’est plus réelle / 533
    • IV. De leur grâce, que font-ils / 533
    • V. Ai-je des souvenirs, ai-je des espérances / 534
    • VI. N’était-il pas, ce verger, tout entier / 534
    • VII. Heureux verger, tout tendu à parfaire / 535
  • 30. Toutes les joies des aïeux / 535
  • 31. Portrait intérieur : Ce ne sont pas des souvenirs / 536
  • 32. Comment encore reconnaître Paris / 537
  • 33. Le sublime est un départ / 537
  • 34. Combien de ports pourtant, et dans ces ports / 537
  • 35. N’est-ce pas triste que nos yeux se ferment ? / 538
  • 36. Puisque tout passe, faisons / 538
  • 37. Souvent au-devant de nous / 539
  • 38. Vues des Anges, les cimes des arbres peut-être / 539
  • 39. Ô mes amis, vous tous, je ne renie / 539
  • 40. Un cygne avance sur l’eau / 540
  • 41. Ô nostalgie des lieux qui n’étaient point / 541
  • 42. Ce soir quelque chose dans l’air a passé ∕ 541
  • 43. Tel cheval qui boit à la fontaine / 542
  • 44. Printemps I-VII
    • I. Ô mélodie de la sève / 542
    • II. Tout se prépare et va / 543
    • III. Montée des sèves dans les capillaires / 544
    • IV. C’est la sève qui tue / 544
    • V. Que vaudrait la douceur / 545
    • VI. En hiver, la mort meurtrière / 545
    • VII. C’est de la côte d’Adam / 545
  • 45. Cette lumière peut-elle / 546
  • 46. Dans la blondeur du jour / 546
  • 47. Le silence uni de l’hiver / 547
  • 48. Entre le masque de brume / 547
  • 49. Le Drapeau : Vent altier qui tourmente le drapeau / 547
  • 50. La Fenêtre I-III / 548
    • I. N’es-tu pas notre géométrie / 548
  • II. Fenêtre, toi, 6 mesure d’attente / 549
    • III. Assiette verticale qui nous sert / 549
  • 61. À la bougie éteinte / 550
  • 52. C’est le paysage longtemps, c’est une cloche / 550
  • 53. On arrange et on compose / 551
  • 54. J’ai vu dans l’œil animal / 551
  • 55. Faut-il vraiment tant de danger / 551
  • 56. La Dormeuse : Figure de femme, sur son sommeil / 552
  • 57. La Biche : Ô la biche : quel bel intérieur / 552
  • 58. Arrêtons-nous un peu, causons / 553
  • 59. Tous mes adieux sont faits. Tant de départs / 553
 
  • LES QUATRAINS VALAISANS
Liste poèmes
  • 1. Petite Cascade : Nymphe, se revêtant toujours / 557
  • 2. Pays, arrêt à mi-chemin / 557
  • 3. Rose de lumière, un mur qui s’effrite / 557
  • 4. Contrée ancienne, aux tours qui insistent / 558
  • 5. Douce courbe le long du lierre / 558
  • 6. Pays silencieux dont les prophètes se taisent / 558
  • 7. Vois-tu, là-haut, ces alpages des anges / 559
  • 8. Ô bonheur de l’été: le carillon tinte / 559
  • 9. C’est presque l’invisible qui luit / 560
  • 10. Ô ces autels où l’on mettait des fruits / 560
  • 11. Portons quand même à ce sanctuaire / 560
  • 12. Le clocher chante: Mieux qu’une tour profane / 561
  • 13. L’année tourne autour du pivot / 561
  • 14. Un rose mauve dans les hautes herbes / 562
  • 15. Tout ici chante la vie de naguère / 562
  • 16. Quel calme nocturne, quel calme / 563
  • 17. Avant que vous comptiez dix / 565
  • 18. Chemin qui tourne et joue / 564
  • 19. Tant de noir sérieux / 564
  • 20. La petite clématite se jette / 564
  • 21. Après une journée de vent / 565
  • 22. Comme tel qui parle de sa mère / 563
  • 23. Ici la terre est entourée / 566
  • 24. Voici encor de l’heure qui s’argente / 566
  • 25. Le long du chemin poussiéreux / 566
  • 26. Fier abandon de ces tours / 567
  • 27. Les tours, les chaumières, les murs / 567
  • 28. Pays qui chante en travaillant / 568
  • 29. Vent qui prend ce pays comme l’artisan / 568
  • 30. Au lieu de s’évader / 568
  • 31. Chemins qui ne mènent nulle part / 569
  • 32. Quelle déesse, quel dieu / 569
  • 33. Ce ciel qu’avaient contemplé /
  • 34. Mais non seulement le regard / 570
  • 35. Au ciel, plein d’attention / 571
  • 36. Beau papillon près du sol / 571
 
  • LES ROSES
Liste poèmes
  • I. Si ta fraîcheur parfois nous étonne tant 575
  • II. Je te vois, rose, livre entrebâillé / 575
  • III. Rose, toi, ô chose par excellence complète / 575
  • IV. C’est pourtant nous qui t’avons proposé / 576
  • V. Abandon entouré d’abandon / 570
  • VI. Une rose seule, c’est toutes les roses / 576
  • VII. T’appuyant, fraîche claire / 577
  • VIII. De ton rêve trop plein / 577
  • IX. Rose, toute ardente et pourtant claire / 577
  • X. Amie des heures où aucun être ne reste / 578
  • XI. J’ai une telle conscience de ton / être / 578
  • XII. Contre qui, rose / 579
  • XIII. Préfères-tu, rose, être l’ardente compagne / 579
  • XIV. Été: être pour quelques jours / 580
  • XV. Seule, ô abondante fleur / 580
  • XVI. Ne parlons pas de toi. Tu es ineffable / 580
  • XVII. C’est toi qui prépares en toi / 581
  • XVIII. Tout ce qui nous émeut, tu le partages / 581
  • XIX. Est-ce en exemple que tu te proposes ? / 582
  • XX. Dis-moi, rose, d’où vient / 582
  • XXI. Cela ne te donne-t-il pas le vertige / 582
  • XXII. Vous encor, vous sortez / 583
  • XXIII. Rose venue très tard, que les nuits amères arrêtent / 583
  • XXIV. Rose, eût-il fallu te laisser dehors / 584
 
  • LES FENÊTRES
Liste poèmes
  • I. Il suffit que, sur un balcon / 587
  • II. Tu me proposes, fenêtre étrange, d’attendre / 587
  • III. N’es-tu pas notre géométrie / 587
  • IV. Fenêtre, toi, ô mesure d’attente / 588
  • V. Comme tu ajoutes à tout / 588
  • VI. Du fond de la chambre, du lit / 588
  • VII. Fenêtre, qu’on cherche souvent / 590
  • VIII. Elle passe des heures émues / 590
  • IX. Sanglot, sanglot, pur sanglot ! / 591
  • X. C’est pour t’avoir vue / 591
 
  • TENDRES IMPÔTS À LA FRANCE
Liste poèmes
  • < 1 > Le Dormeur : Laissez-moi dormir, encore... C’est la trêve / 595
  • < 2 > Pegase : Cheval ardent et blanc, fier et clair Pégase / 595
  • < 3 > Qu’est-ce que les Rois Mages / 596
  • < 4 > À une Amie : Combien cœur de Marie est exposé / 596
  • < 5 > Restons à la lampe et parlons peu / 597
 
suite de la liste poèmes
  • < 7 > Prière de la trop peu Indifférente : Aidez les cœurs, si soumis et si tendres / 598
  • < 8 > Reste tranquille, si soudain / 598
  • < 9 > Il faut croire que tout est bien, si tant / 599
  • < 10 > Ce soir mon cœur fait chanter / 599
  • < 11 > Lampe du soir, ma calme confidente / 599
  • < 12 > Parfois les amants ou ce / 600
  • < 13 > L’aurai-je exprimé, avant de m’en aller / 600
  • < 14 > Tombeau (dans un parc) : Dors au fond de l’allée / 601
  • < 15 > De quelle attente, de quel / 601
 
  • EXERCICES ET ÉVIDENCES
Liste poèmes
  • L’enfant, à la fenétre, attend le retour de sa mère / 605
  • Les Fugitifs / 605
  • Chat : Chat d’étalage, âme qui confère / 606
  • Enterrement Paris : Parmi les machines rapides / 607
  • Doute : Tendre nature, nature heureuse, où tant............ / 607
  • Source : Parle, ô source, toi qui n’es pas humaine / 608
  • Mouvement de Rêve : Ascenseur, qui parcourt sans bruit les étages du rêve / 608
  • Autre Source : Ô source qui jaillit, ô volonté secrète / 609
  • Pour une autre « Source » ... échangeons nos avis, vante-moi la neige /609
  • À la Seine ...la paix de ces contours / 610
  • Disgrâce divine : Ce ne sera plus par vous, bouche trop infidèle / 610
  • Cimetière : Y en a-t-il d’arrière-goût de la vie / 611
  • Border un enfant dans son lit / 611
  • Pour servir d’Épitaphe & la belle Madame B.... : Que j’étais belle ! Ce que je vois / 612
  • Hiver : J’aime les hivers d’autrefois qui n’étaient point / 612
  • Mensonges I 1-3
    • 1. Mensonge, âme d’adolescent / 613
    • 2. Toi, ô pauvre, qui te cramponnes / 613
    • 3. Cimetière compromettant / 614
  • Mensonges II 1-6
    • 1. Mensonge, jouet que l’on casse / 614
    • 2. Masque ? Non. Tu es plus plein / 625
    • 3. Es-tu fleur, es-tu oiseau / 615
    • 4. (T’ai-je appelé ?... Mais de quel mot, de quel signe / 615
    • 5. À ce sourire épars / 616
    • 6. Je ne m’explique point / 616
  • Gong 1-3 / 617
    • 1. Bourdonnement épars, silence perverti / 617
    • 2. Comme si l’on était en train / 617
    • 3. (... Arbres d’airain, qui dans l’ouïe font / 618
  • Solitude : De tendresses pleines, les mains / 618
  • Vieillir : Certains étés il y a tant de fruits / 618
  • Quelques Œufs de Pâques 1-3 ........... *619
    • 1. C’était un de ces premiers papillons / 619
    • 2. Toute fleur n’est qu’une mince fontaine / 620
    • 3. Qui sait, si les Anges ne demandaient point / 620
  • Bulles de Savon : Oh, les bulles de savon ! / 620
  • < « Mais il est plus pur de mourir » > 1-4 / 621
    • 1. Tout cela pourrait changer: jamais plus / 621
    • 2. N’osez pas les nommer !. De Demi-Dieux à peine / 622
    • 3. Renoncez, pieux clients ! Les cierges allumés / 623
    • 4. Sur la crête du cœur hésitant / 624
  • Coucou :Depuis tant de semaines tout nous dispute nos / règles. / 625
  • C’est vous, Cytise et Citronnelle / 625
  • Entre elle et sa glace / 625
  • Gente églantine / 626
  • D’autres «Quatrains Valaisans» 1-2 / 627
    • 1. Les hannetons ont fini leur ravage / 627
    • 2. Simple clocher trapu, au geste du semeur / 627
  • Pourquoi tant te mentir, ô enfant, dans ton doux nid initial ? / 628
  • Tombeaux 1-2
    • 1. C’est donc à cela que ta vie fut un tendre prélude / 629
    • 2, Encor, encor, je vais et je m’incline / 629
  • À quoi donc mesure-t-on / 650
  • À la Lune : Lune, svelte personne / 631
  • < D’un Cycle: « Fenêtres » > (1-3)
    • <1> D’abord, au matin, petite fenêtre farouche / 631
    • <2> (Ce jour elle fut d’humeur fenestrière / 632
    • <3> Depuis quand nous te jouons / 632
  • Nos pertes, n’est-ce sur vous / 633
 
  • POÈMES ET DÉDICACES
Liste poèmes
  • Nénuphar : J’ai toute ma vie, mais qui la dirait mienne / 637
  • Qui nous dit que tout disparaisse ? / 637
  • < Hai-Kai > : C’est pourtant plus lourd de porter / 638
  • Cimetière : Tombeaux, tombeaux, debout comme des personnes / 638
  • Le Petit Cahier à Mademoiselle Contat (1-2) / 639
    • <1> Rossignol : Rossignol..., dont le cœur / 639
    • < 2 > Mésange : Ô toi, petit cœur, qui hivernes / 639
  • Ossuaire : N’y a-t-il plus que des Victoires / 640
  • Choix terrestre : Tu me poursuis où que je n’en aille / 640
  • < D’un Cycle: Das kleine Weinjahr > (1-2) / 641
    • <1> Le souvenir de la neige / 641
    • <2> Comme aux Saintes-Maries, là-bas / 641
  • < À Monique et Blaise Briod > : Et à la lampe et à votre feu / 642
  • Au fond du miroir le double se confond / 642
  • Tout vous dire serait trop long / 643
  • Autrefois, qui chantait dans les tours ? / 643
  • L’enfant devant la glace s’étonne / 644
  • Peut-être n’était-ce qu’un reflet du feu / 645
  • Souvenirs de Muzot I-II
    • I. Nous vivons sur un ancien sol d’échange / 645
    • II. 1. De loin le printemps à venir / 646
    • II. 2. Bientôt ce sera à la vigne / 646
    • II. 3. Mais d’abord, rentrons au feu / 647
  • Cœur de vieillard, qui dans sa morgue dort / 647
  • Ne croyez que fleurs et fruits consument < Rédaction définitive du poème précédent > / 648
  • Le Magicien : Le magicien, les yeux tout creux et vides / 649
  • Nul ne parle d’eux, et pourtant / 650
  • Chanson cruelle : Mettez-vous au saule / 650
  • < Deux Poèmes > 1-2
    • 1. Aime-moi, qu’il reste à ma bouche / 651
    • 2. Qu’il me soit caché par votre main / 652
  • L’Orphelin : Je cours le long des routes, je cours / 652
  • À Pia di Valmarana : Si la langue ne tout vous retient / 653
  • Ciel valaisan : Comment notre cœur lorsqu’il vibre / 653
  • Si j’avais assez su / 653
  • Départ : Mon amie, 1l faut que je parte / 654
  • Moment entre les Masques : On était déguisé, pendant qu’on restait dans / 654
  • À Miss Nicola B.... : Comme tel dessin de maître accapare / 655
  • Nous nous portons; mais le poids des morts / 655
  • Recommençons, dit la terre, recommençons / 656
  • Enfant en rouge : Parfois elle traverse le village dans sa petite robe rouge / 656
  • Le Noyer I-III
    • I. Arbre qui, de sa place / 657
    • II. Arbre, toujours au milieu / 658
    • III. Arbre qui peut-être / 658
  • Lys blanc, à force d’être tant / 659
  • Je les vois comme une ancienne estampe / 659
  • Les Jouets : Ils ont bu et toujours rebu / 660
  • Chanson : Jouons aux bergers, et que tes charmes / 661
  • Le Masque : Ce matin, en entrant dans ma chambre / 662
  • Ô ma vie, que je voudrais être celui qui répond / 665
  • Calme des animaux dont l’inquiétude / 663
  • Quelle chance de porter deux petits seins / 664
  • L’Enfant : Avoir encore les plantes des pieds à peu près neuves / 665
  • Salut ! grain aile qui s’envole vers / 666
  • Vous souvient-il de ces choses que l’on a perdues / 666
  • Si c’est un Dieu qui nous défait : obéissons ! / 667
  • Déjà par ci et par là dans les prés / 667
  • L’ombre d’un papillon / 668
  • Celle qui n’est pas venue, n’était-elle quand même / 668
  • Y a-t-il peu dans la vie de cet oubli que désirent / 669
  • Narcisse : Entourée de son bras comme d’un coquillage / 669
  • Pour trouver Dieu il faut être heureux / 670
  • Des masques se tendent à nous / 670
  • La Paix : Nous avons intacte la face / 671
  • A Marie Laurencin : Comme dans les cartes de géographie / 671
  • L’Avenir : L’avenir: cette excuse du temps / 672
  • Maternité : Ma vie, tu me l’as remplie / 672
  • Saint-Sulpice Paris, : Tout s’accorde parfaitement / 673
  • La Danse dans l’Escalier : Ce Monsieur du premier / 673
  • Chanson : Toi, à qui je ne confie pas / 674
  • Leçon grammaticale : Je te compare à ce très énergique « Ma » / 675
  • < Petit Carnet > 1-3 / 675
    • 1. Buvant dans cette tasse sur laquelle / 673
    • 2. Comme la maison est calme / 675
    • 3. « Farfallettina » : Tout agitée elle arrive vers la lampe / 676
  • Le Christ Ressuscité : Comment rester avec ce corps, comme un grain / 676
  • Tout bouge, tout se soulève / 677
  • Bella : en somme elle y est trop peu / 677
  • À Mademoiselle Sophy Giauque : C’est notre extrême labeur / 678
  • À Natalie Clifford-Barney  : Ô le temple défait ou jamais terminé ! / 678
  • (A Marina Zwetajewa-Efron) : Marina: voici galets et coquillages / 678
  • Le grand Pardon : On raconte, mais est-ce qu’on sait ? / 679
  • Les trois Porteuses / 680
    • La Porteuse de Fleurs : Elles ne sont plus à moi, mes mains / 680
    • La Porteuse de l’Eau : Toi, qui semblais toute hâte à la fontaine / 680
    • La Porteuse de Fruits : Voici ce que c’est que l’année / 681
  • < À Odilon-Jean Périer > : Nos anges, Monsieur, se sont bien reconnus / 681
  • Les « Victoires » : Aucune n’avait plus ses ailes tout entières / 682
  • À Madame Jeanne-René Dubost : Ô le ruban léger dont les bouts / 682
  • < À Isabelle Trümpy > : À ces moments si beaux / 683
  • Les Anges aiment nos pleurs / 683
 
Suite de Poèmes et Dédicaces
  • À Jean-Louis Vaudoyer : C’est déjà trop osé, quand il faut dire : j’aime / 684
  • À Nigrovorine qui s’en va... < Marque de gomme > : Tu fais « non » de ton corps / 685
 
  • ÉBAUCHES ET FRAGMENTS/ 1899-1918
Liste poèmes
  • Chanson orpheline < I > : Où veux-tu que je m’en aille ? / 689
  • Je vois deux yeux comme deux enfants / 689
  • Chanson orpheline II : Aucune de mes amies / 690
  • Ce sont les jours où les fontaines vides / 691
  • Et la beauté devient toujours plus difficile / 691
  • Mes yeux, mes yeux sont las / 691
  • Jour d’Été : La maison blanche, les persiennes closes / 692
  • L’automne sonne dans les feuilles vides / 692
  • Ô chant éloigné, suprême lyre / 693
  • J’admire immensément la force solitaire / 693
  • Moines énormes et forts qui de leur place / 694
  • Non je ne veux plus : non / 694
  • Oh vie vécue depuis quel temps / Oh vie / 695
  • < A Mimi Romanelli > : Qu’il nous soit permis de temps en temps / 695
  • Voilà la nuit t’ouvrant ses bras d’espace / 695
  • À force de prier il se fait un archange / 696
  • Si je pourrais avec mes mains brûlantes / 696
  • Tout épris d’avenir, je contemple les cieux / 696
  • J’ai bu toute la nuit le vin de l’amour, Bien-aimée / 696
  • La terre comment fait-elle pour, en sa profondeur / 697
  • Connaîtrai-je la main charitable / 697
  • À M..... : Les autres, c’était la tempête / 698
  • Refuse-toi à la vie complicable / 698
  • Vent orphelin sur la place vide / 699
  • Tout cela s’en va, ce sera de nouveau / 699
  • Géranium qui éclate / 699
 
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