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Livre:Stendhal - Vie de Rossini, Lévy, 1854.djvu

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TitreVie de Rossini
AuteurStendhal Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionMichel Lévy frères
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1854
BibliothèqueInternet Archive
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Série

Armance • Autres Nouvelles • La Chartreuse de Parme • Chroniques italiennes • Correspondance inédite : 1, 2 • De l’amour • Histoire de la peinture en Italie • Mélanges d’Art et de Littérature • Mémoires d’un Touriste : 1, 2 • Nouvelles inédites • Promenades dans Rome : 1, 2 • Racine et Shakespeare • Romans et Nouvelles • Rome, Naples et Florence • Le Rouge et le Noir • Vie de Napoléon • Vie de Rossini • Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase

Pages

TABLE


  
 
Pages.
Préface
 1
Introduction. § 1er. Cimarosa. 
 5
§ II. Différence de la musique allemande et de la musique d’Italie. 
 6
Anecdote sur Torquato Tasso, en 1816. — La mémoire paralyse l’imagination. — Conditions physique du plaisir musical ; grandeur des salles ; position commode du corps : air pur et souvent renouvelé. — Le demi-jour nécessaire à l’effet de la musique.
§ III. Histoire de l’interrègne après Cimarosa et avant Rossini, de 1800 à 1812. 
 14
Coup d’œil sur les Œuvres et le talent de Mayer. — Duetti d’Ariodant et de la Rosa Bianca, les chefs-d’œuvre de Mayer. — M. Paër et ses principaux ouvrages.
§ IV. Mozart en Italie. 
 22
Un prince fait un pari sur Mozart, et le fait connaître en Italie. — Un mot sur le style de Mozart. — Différence des styles de Mozart, Cimarosa et Rossini.
Chap. Ier. Ses premières années. 
 33
La civilisation prend naissance sur les rives de la Méditerranée ; encore aujourd’hui on y aime mieux aimer et jouir que combattre ; de là les malheurs de l’Italie. — La France et l’Angleterre par rapport aux Beaux-Arts. — Les parents de Rossini sont musiciens.
Chap. II. Tancrède, premier opera seria de Rossini. 
 40
Le premier chœur de Tancrède plus pastoral que guerrier. — La Malanote refuse un air que Rossini avait composé pour l’entrée de Tancrède ; il trouve l’air di tanli palpiti. — L’harmonie joue en musique le rôle de la description dans les romans de Walter Scott. — Duetto guerrier : Ah ! se de’ mali miei.
Chap. III. L’Italiana in Algeri
 64
Manière de se servir du libretto d’un opéra, à la première représentation. — Caractères de la musique de l’Italiana. — Singulière bonté du public de Louvois.
Chap. IV. La Pietra del Paragone
 67
Air célèbre Ecco pietosa, supprimé à Paris par des gens qui espéraient dérober Rossini à la France. — La Pietra del Paragone finit par un grand air comme l’Italiana in Algeri et la Cenerentola.
Chap. V. La conscription et les envieux. 
 76
M. Berton et le Miroir. — Rossini fait des fautes de syntaxe et manque de pureté dans le style ; ce qui est inexcusable, dit M. Berton.
Chap. VI. L’Imprésario et son théâtre. 
 83
Réponse de Rossini au monsignore pédant. — Comédie de Sografisur les prétentions des chanteurs. — La prima sera (première, représentation).
Chap. VII. Guerre de l’harmonie contre la mélodie. 
 91
Les aliments d’un goût piquant font oublier le parfum de
Chap. VIII. Irruption des cœurs secs. — Idéologie de la musique. 
 98
Négligences de Rossini marquées d’une +. — En compliquant les accompagnements, on diminue la liberté du chant. — Les accompagnements de Rossini pèchent plutôt par la quantité que par la qualité. — L’orchestre de Louvois. — Le piano est regardé comme un signe de faiblesse.
Chap. IX. L’Aureliano in Palmira
 105
Duetto superbe, Se tu m’ami, o mia regina. — Demetrio e Polibio, premier opéra composé par Rossini, au printemps de 1809. — Ouverture du théâtre de Como.
Chap. X. Il Turco in Italia
 111
Chap. XI. Rossini va à Naples. 
 117
Scritlura contractée par Rossini avec M. Barbaga. — Influence de la voix de la prima donna de Naples sur le talent de Rossini.
Chap. XII. L’Elisabetta. 
 121
Chap. XIII. Suite de l’Elisabetta
 125
Ode italienne sur la mort de Napoléon, à comparer à l’ode anglaise de lord Byron, et à la Méditation de M. de Lamartine sur le même sujet. — Critique du style de Rossini par les vieux amateurs de Naples, contemporains de Cimarosa et de Paisiello.
Chap. XIV. Rossini compose dix opéras à Naples. 
 131
Chap. XV. Torvaldo e Darliska
 134
Chap. XVI. Analyse musicale du Barbier de Séville
 136
Cimarosa n’a pas fait usage de dissonances dans le Mattimonio segreto ; il venait cependant de voir applaudir tous les chefs-d’œuvre de Mozart. — Aventures de Rossini à Rome.
Chap. XVII. Du public relativement aux beaux-arts ; solitude et chant à l’église, sources du goût pour l’opéra. 
 155
De la province relativement aux Beau-Arts.
Chap. XVIII. Analyse musicale d’Otello
 162
Quelle est la jalousie qui peut être touchante an théâtre. — Singulière observation de M. l’abbé Girard sur l’usage qui, en 1746, permet la galanterie aux femmes mariées et leur défend l’amour-passion. — L’auteur du libretto d’Otello n’a pas donné les situations qui appartiennent à ce beau sujet. — M. Kean, le premier acteur tragique de l’époque, n’a jamais été vanté à l’Europe par un écrivain à la mode comme madame de Staël.
Chap. XIX. Suite d’Otello
 169
Quel est le plus beau morceau de cet opéra. — La musique du vers Impta, ti maledico devrait être sur ces paroles d’Otello : Va, je ne t’aime plus. — Romance du saule. — Pantomime de la mort de Desdemoua dans les théfttres d’Italie. — Histoire de la mort de Stradella.
Chap. XX. La Cenerentola
 184
La musique est incapable de parler vite. — La mélodie ne peut pas peindre à demi. — Charmant duetto entre le prince et son valet de chambre. — Mœurs de Rome comparées à celles de Paris. — Le bouffe de Paccini. — Le rire banni de France. — Le beau idéal en musique varie comme les climats. — Trois opéras de Rossini terminés par un grand air de la prima donna.
Chap. XXI. Velluti
 199
Comparaison de Martin et de Velluti.
Chap. XXII. La Gazza Iadra
 202
Son immense succès. — De l’ouverture de la Gazza Iadra. — Analyse musicale de cette pièce.
Chap. XXIII, Suite de la Gazza Iadra, second acte. 
 217
De l’orchestre de Louvols. — La plupart des mouvements de Rossini changés par le chef d’orchestre de Louvols.
Chap. XXIV. De l’admiration en France, ou du grand Opéra. 
 227
Changements moraux et politiques en France, de 1765 à 1828. — Napoléon maître absolu de la vérité. — Bon mot de Torloni.
Chap. XXV. Les deux amateurs. 
 234
Chap. XXVI. Mosè
 238
Analyse musicale de cet opéra. — Effet prodigieux de la prière Dal tuo atellato soglio. — Comparaison de Rossini avec Goëthe.
Chap. XXVII. De la révolution opérée dans le chant par Rossini. 
 247
Comparaison entre Napoléon et Sylla. — Canova et le Sauvage, anecdote.
Chap. XXVIII. Considérations générales : Histoire de Rossini par rapport au chant. 
 252
Chap. XXIX. Révolution dans le système de Rossini. 
 255
Rossini bon chanteur. — Seconde manière de Rossini.
Chap. XXX. Talent suranné en 1840. 
 259
Chap. XXXI. Rossini se répète-t-il plus qu’un autre ? Détails de chant. 
 261
Défaut du public de Louvois ; obstacles à son bon goût.
Chap. XXXII. Détails de la révolution opérée par Rossini. 
 264
Paganini, le premier violon de l’Italie.
Chap. XXXIII. Excuses. Originalité des voix effacée par Rossini. 
 268
Chap. XXXIV. Qualités de la voix. 
 276
Chap. XXXV. Madame Pasta. 
 279
Anecdote qui peint l’âme de cette admirable cantatrice. — Lettres de Napoléon peignant l’amour le plus passionné.
Chap. XXXVI. La Donna del Lago
 291
Gasconisme de Rossini.
Chap. XXXVII. De huit opéras de Rossini. 
 295
Adelaide di Borgogna. — Armida. — Ricciardo e Zontide. — L’Ermione. — Maometto Secondo. — Mathilde di Sabran. — Zelmira. — Semiramide.
Chap. XXXVIII. Biança e Faliero
 299
Chap. XXXIX. Odoardo e Cristina
 301
Projet d’une liste de tous les morceaux réellement différents, des opéras de Rossini, des morceaux bâtis sur la même idée, avec l’indication du duetto ou de l’air où elle est présentée avec le plus de bonheur.
Chap. XL. Du style de Rossini. 
 305
Chap. XLI. Opinion de Rossini sur quelques grands maîtres ses contemporains. — Caractère de Rossini. 
 308
Chap. XLII. Anecdotes. 
 312
Paresse de Rossini. — Dernier mot.
Liste chronologique des Œuvres de Gioacchino Rossini, né à Pesaro le 29 février 1792. 
 317
Chap. XLIII. Utopie du Théâtre-Italien de Paris. 
 323
Recettes de ce théâtre. — Dépenses approximatives de ce théâtre. — Budget de l’opéra Italien de Londres. — Projet de donner l’Opéra-Buffa à l’entreprise, avec une commission de surveillance. — Notes fournies par un ancien administrateur des théâtres. — Comparaison entre les peintres de décorations italiennes et les peintres français, différence énorme entre les prix. — Commission administrative des théâtres de Turin, Florence, Londres, Milan. — Projet d’une classe de chant italien au Conservatoire, Pellegrini ou Zuchelli professeur, et de mettre quatre pairs de France riches à la tête de cette école. — Il serait bon de donner deux représentations par mois au grand Opéra. — On devrait engager Rossini pour deux ans à Paris. — Sujets que l'on devrait engager.
Chap. XLIV. Du matériel des théâtres en Italie. 
 331
Désignation d’une place superbe pour construire à Paris une salle de spectacle à l’instar de celle de Moscou. — Des théâtres dits de cartello et leur classement. — Vigano, ses ballets admirables. — On devrait appliquer au Théâtre-Français l’usage de donner, comme en Italie, des pièces nouvelles à des époques déterminées. — Des décorations.
Chap. XLV. De San-Carlo et de l’état moral de Naples, patrie de la musique. 
 341
Chap. XLVI. Des gens du Nord, par rapport à la musique. 
 349
Des Allemands. — Des Anglais. — Des Écossais.
Note des Éditeurs pour servir de complément à la Vie de Rossini
 361
Liste chronologique et complète de toutes les compositions de Rossini. 
 369