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Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/101

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La nouvelle de vos mille écus retranchés par an m’afflige ; mais je vous félicite du courage avec lequel vous ſupportez cette perte. En effet, les doléances ne changeroient rien : il ne s’agit que de prendre le compas de la modération, de faire le cercle plus petit, & de n’en point ſortir. Adieu ; ſanté ferme, joie conſtante & amitié, s’il ſe peut, égale à la mienne.


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