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Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/87

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Les montres ! ils feroient, par un choix plus heureux,
Maîtres du clitoris, » s’ils l’avoient été d’eux.
M’enculer avant l’âge, étoit leur folle envie,
Pour éloigner de moi cette ſecte ennemie,
Le ciel vengeur arma mon pere d’un gourdin,
Mon oncle, après ſa mort, leur frotta le grouin,
Et moi leur dévouant une haine éternelle,
Je marche au con d’un pas qui jamais ne chancelle.
Que deſſous leurs bonnets, vers nos culs attirés,
Leurs yeux roulent ſans fin, de luxure altérés ;
Que la trompette encore, à l’égal du tonnerre,
De leur renom fameux étourdiſſe la terre,
Je n’irai point en proie à de ſales amours,
Aux jeux du culetage immoler nos beaux jours.
J’atteſte ce teton, & mon vit qu’il enflamme,
De ne pas prendre un poil du con d’une autre femme,
De vous montrer l’amant, de vous cacher l’époux,
De ne verſer enfin de foutre que pour vous.
Ne croyez pas, non plus, qu’à mes doigts je confie
Les plaiſirs réſervés à ma femme chérie ;

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