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Page:Étrennes aux fouteurs, 1793.djvu/95

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Le Con.

Je n’en aurois, toute ma vie, d’autres que celui que je viens de goûter, qu’il me ſuffiroit.

Le Vit.

Je ne dis point cela.

Le Con.

On s’agite, on ſe retourne, la pointe du jour paroît, retire-toi.

Le Vit.

Autant la mort. Je ſuis fâché à cette heure d’être venu… Le beau petit portail…

Le Con.

Allons, va-t-en. Adieu, mon joujou.

Le Vit.

Adieu, ma motte.

Le Con.

Adieu, mon lingot.

Le Vit.

Adieu, ma toiſon.

Le Con.

Au revoir, mon grand coquin.

Le Vit.

Petit jean-foutre ! Je t’avalerois ſi j’avois une bouche… Adieu, mon rat.

Le Con.

Adieu, ma queue.


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