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Page:Œuvres complètes de Frédéric Bastiat, Guillaumin, 2.djvu/33

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Odier-Mimerel[1]. En fait de liberté commerciale, elle avait fait ses preuves longtemps avant la naissance de notre Association. Nous ne renions certes pas nos parrains ; si nous allons plus loin qu’eux, dans le sens des mêmes principes, sur la question des sucres ou sur celle des lois de navigation, nous n’en resterons pas moins unis de vues générales ainsi que de cœur avec nos honorables devanciers.






  1. Naturellement, la chambre de commerce avait repoussé de telles avances. (Note de l’éditeur.)