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Page:Achille Essebac - Luc.djvu/199

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LUC
189

Nine ne voulut rien faire de moins que les beaux fruits de corail ; elle rougit aussi… et ne détourna pas ses yeux…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Jeannine se retira sans bruit. La beauté des deux adolescents, la révélation inattendue de leur nudité troubla violemment son âme et sa chair… Et l’image de Luc rapprochée de ses jeunes voisins peupla la solitude de ses nuits.

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